1. Les routiers fêtent madame (1)


    Datte: 06/10/2017, Catégories: Trash,

    ... C’est très vilain... Quand je pense à tout ce que nous avons pu mouiller en y pensant, Stéphanie et moi. Tu sais qu’elle t’avait préparé une jolie surprise ? Je devais vous rejoindre sur le lieu de son contrôle routier dans mon bel uniforme, te surprendre en train de la baiser sur le capot de la voiture. Je lui aurais fourré ma matraque dans la chatte pour la punir, tout en branlant ta bite. J’aurais sucé ses seins, te laissant la pénétrer à nouveau. J’aurais sucé tes couilles, assise entre tes jambes et ma matraque dans le vagin. J’aurais... J’aurais... Mmmm... Justine laisse échapper un long et doux gémissement. Cédric recueille dans sa bouche le produit de sa jouissance, lapant comme un chaton affamé. Il tente de se reculer, mais les mains de la policière le replongent dans son ouvrage. Elle reprend son souffle, puis son monologue. — Ne t’arrête pas de brouter mon chou... Voilà... C’est bien... Donc tu imagines ma surprise tout à l’heure. Je me suis arrêtée sur ce parking pour me changer avant d’aller vous retrouver au point de rendez-vous, un peu plus loin sur la route. Et j’ai vu arriver votre Porsche, qui est passée devant moi et s’est garée au bout de la rangée, derrière le dernier poids lourd ! Je t’ai vu en descendre, partir en direction du restaurant avec ton sac, puis enjamber le fossé pour entrer dans le sous-bois. T’installer ici, mettre en place ton petit matériel. Et les routiers sont arrivés les uns après les autres pour faire sa fête à Stéphanie... Et ...
    ... quelle fête ! Bravo ! Qu’est-ce qu’elle prend ! Elle le rejette en arrière et recule d’un pas. Elle se déhanche, prend la pause, une main sur la taille. Fait un tour sur elle même. Prend une nouvelle pause, les bras le long du corps cette fois. Toujours à genou, Cédric la regarde, sa verge durcissant à la main. Son visage est couvert de jus poisseux. Elle reprend la parole, sur un ton adouci et aguicheur. — Tu aimes cette tenue ? Elle me va bien ? C’est la même que celle de Stéphanie... Elle désigne du menton le parking sur lequel sa copine est en train de se faire défoncer par une horde de camionneurs lubriques et revanchards. — C’est une de ses relations qui nous les as trouvées. Et il a été bien payé en retour, ce garçon... Enfin bref... Nous voilà toutes les deux lieutenants de police ! Je ne pense pas que les vrais officiers s’abaissent à payer de leur personne sur le bord des routes, mais rien n’est trop beau pour ces messieurs... De la gradée de premier choix ! Elle sourit, ajuste son noeud de cravate, et, telle une élégante qui se recoiffe, lisse du bout des doigts les poils de sa chatte. Reprenant un ton ferme teinté de gourmandise, elle donne de nouvelles instructions. — Cesse de te branler Cédric, je crois que tu es assez dur... Rentre-moi dedans... *** Stéphanie est allongée en travers du capot de la Porsche, contre le pare-brise. Juste à la bonne hauteur pour recevoir les honneurs de ces messieurs de plus en plus nombreux. Les bites, de toutes tailles, formes et ...