1. Comment en apprendre sur la sylviculture


    Datte: 11/07/2020, Catégories: fh, fhh, hbi, inconnu, magasin, noculotte, facial, Oral pénétratio, fdanus, délire, fantastiqu,

    ... pas très agréable, mais l’ambiance suffisait à me faire mouiller. Rapidement, j’ai délaissé les caresses d’Eric, je me suis penchée sur la bite de Bertrand et je l’ai prise en bouche. « Elle suce bien ? demanda Eric. « T’es jaloux ? a répondu son ami. Attends. Je l’ai senti se baisser et je compris qu’il suçait Eric. J’ai été le rejoindre parce que je n’avais jamais vu la bouche d’un mec pomper une bite. Pendant qu’il s’occupait du gland, je léchais les couilles. Puis nous avons changé de place. J’ai chatouillé le gland avec ma langue un moment, puis je l’ai pompé. Eric gémissait sous nos caresses et nous encourageait. « Je vais jouir, qu’il a crié. « Tu prends tout ? m’a demandé Bertrand. Au même moment Eric a déchargé dans ma bouche. J’ai tout avalé et ce que je n’avais pas pompé directement, je l’ai sucé sur sa queue et sur mes doigts et ceux de Bertrand. « A moi, a dit Bertrand. Il m’a prise par les hanches et, avec une force que je n’aurais pas imaginée en lui, il me souleva. Il me fit tourner un moment, ce qui eut le don de me faire rire. Je lui ai roulé un patin d’enfer pour lui faire goûter le sperme de son copain. « Baise-moi, j’ai dit. Il m’a allongée par terre, sur le dos et a commencé à me pilonner. Ses coups de queue me rendaient folle. J’en voulais plus, toujours plus. Il s’est retiré pour éjaculer sur ma poitrine puis, sans un mot, a laissé sa place à Eric. Eric s’est mis devant moi pour se branler. Pour l’exciter, j’ai étalé le sperme de Bertrand sur mes ...
    ... seins et tiré sur mes tétons en poussant des petits cris. Je voulais qu’il bande et qu’il me baise. Je l’encourageais comme je le pouvais. Je lui disais que j’étais une chienne en chaleur, une salope qui voulait sa queue, des conneries comme ça. Son sexe était de nouveau raide. « A quatre pattes, petite pute, qu’il a ordonné. Le dernier mec à m’avoir parlé comme ça s’est retrouvé à poil devant la porte de mon appart en pleurant pour que je lui rende au moins son caleçon. Mais pour Eric, ce fut différent. Je me suis mise à quatre pattes en me cambrant le plus possible. J’ai eu un peu peur lorsque j’ai senti sa queue caresser mon cul mais finalement, il s’est enfoncé dans ma chatte. Jamais on ne m’avait baisée avec autant de violence. Je ne savais plus si je devais crier de plaisir ou de douleur, si j’étais soulagé ou déçue qu’il ne m’encule pas. Je ressentais ses coups de queue comme de vraies bombes qui venaient m’éclater le sexe. Quelques fois, il me frappait les fesses du plat de sa main. Et moi je criais : « Continue, continue ! Le sperme de Bertrand coulait sur ma poitrine jusque sur mon cou avant de tomber par terre en gouttelettes et bientôt celui d’Eric fut éjecté sur mon cul. » Elle voulut ajouter quelque chose mais se retint et baissa les yeux. C’est à ce moment qu’elle dut se rendre compte que sa main droite frottait nerveusement sa chatte sous sa jupe. Je me suis demandé si elle mouillait autant que je bandais. Son histoire m’avait totalement retourné. — J’ai joui, ...
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