Comment en apprendre sur la sylviculture
Datte: 11/07/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
inconnu,
magasin,
noculotte,
facial,
Oral
pénétratio,
fdanus,
délire,
fantastiqu,
Le plus dur lors du réveil, c’est de se rendre compte de la réalité. Lorsqu’on se lève de son lit à six ou sept heures du matin pour aller au bureau ou se dépêcher d’aller au théâtre pour une répétition, ce n’est pas la joie. Mais au moins, la plupart du temps on se lève d’un lit, de SON lit. Pour ma part, il s’agissait de manteaux de fourrure que j’avais empilés les uns sur les autres pour me faire un matelas et deux autres pour la couverture. Si la couverture était agréable, le matelas m’avait brisé le dos. J’étais donc toujours dans ce satané Bazar et franchement, j’aurais préféré un réveil avec, pour l’histoire, une épitaphe du style : « Ce n’était qu’un rêve ». Ben non. Difficile… Pas de me rappeler les événements de la veille, ça encore, je pouvais le faire facilement. Mais d’être certain qu’il s’agissait de la veille… Je n’ai jamais porté de montre en week-end et la lumière des néons qui pendaient au plafond ne pouvait pas vraiment m’aider. À la limite, j’aurais pu rechercher le rayon Horlogerie pour me mettre au courant, mais franchement, si j’avais eu le choix, il se serait porté sur le rayon Literie. Ce sont mes pieds qui ont cédé les premiers. J’avais trop mal pour continuer. Alors lorsque j’ai trouvé cette clairière au milieu de la forêt de manteaux de fourrure, j’ai dit « Stop ». Et j’ai repensé à tout ça. Le moment où Céline et moi avions décidé d’aller nous promener. Pour aller où ? Bof, pourquoi pas une rue piétonne ? Il faisait beau, on serait aussi bien allé ...
... à la plage. Je me souviens que la première chose que j’ai vue en entrant dans le Bazar, ce fut la pancarte qui désignait le coin des vêtements. J’aurais dû accompagner Céline, mais je suis parti de mon côté… On s’est perdu de vue. Je me suis perdu. Perdu… Dans un Bazar, en plein centre ville. Dans un Bazar qui semblait si petit et qui pourtant n’avait pas de limites. Et puis… Il y avait cette idée. Cette idée qui restait coincée à l’intérieur de mon crâne. Je suis certain qu’elle m’avait encore chatouillé le nez pendant mon sommeil, car je restais obsédé par le rectangle rouge que l’on voit au-dessus de certaines portes. Ces rectangles lumineux qui annoncent : « Sortie de secours ». Mais elle restait bloquée, étouffée par des odeurs de sexes. Celui de la charmante vendeuse, de sa collègue. L’odeur de Madame et d’Ambre. Lassé de me retourner la caboche dans tous les sens, je me relevai en pensant à des choses d’ordre plus pratique. J’avais faim. Trois solutions s’offraient à moi. Je pouvais faire demi-tour et retourner sur mes pas. Mais je ne savais pas combien d’heures de marche j’avais pu faire parmi les manteaux. Et puis retomber sur cette peau de vache de Madame ne me plaisait guère. Je pouvais continuer dans la même direction ou encore en choisir une autre au hasard. Il me fallait choisir judicieusement. « Pouf ! Pouf, ça sera toi que je prendrai mais comme le roi et la reine ne le veulent pas ça ne sera pas toi ! Pif, paf, pouf, tiré ! » Finalement, j’optai pour la même ...