1. Quatre, cinq, six...


    Datte: 12/07/2020, Catégories: ff, grp, couplus, cocus, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession,

    Résumé de l’épisode précédent : Un, deux, trois ! Pascal découvre, dans des circonstances particulières, que sa femme et l’ami qu’il abrite chez lui sont amants. D’abord cocu furieux, il finit par reconnaître que les torts sont partagés. Mais cela lui rappelle aussi ce qu’il a vécu, justement avec cet ami, l’année de leurs 18 ans : une liaison torride et partagée avec une femme mûre. Il amène, en l’espace d’une nuit, reproduisant justement l’instant où il a découvert son infortune, son épouse à se partager entre désormais ses deux amants. _________________ Il me manque. Arnaud me manque. Cela peut paraître étonnant d’entendre un mari dire que l’amant de sa femme lui manque, que son absence lui pèse, mais c’est la vérité. Mais s’il me manque, cela est encore plus douloureux pour ma femme, sa maîtresse. Pendant six mois, il a été un ami, un confident, un compagnon, presque un second mari prenant soin d’elle jusqu’à mon retour du travail. Son métier, professeur à la fac, lui donnait plus de temps libre et ses horaires s’accordaient mieux avec ma femme que les miens. Séverine, pendant six mois, avait toujours un homme à la maison et cette situation « novatrice » satisfaisait tout le monde. Elle a été notre « Suzanne » pendant toute cette période. Ma femme s’est révélée coquine, vicieuse, cochonne, perverse, nous menant par le bout de la queue. Mais évidemment ni Arnaud ni moi ne nous en plaignions. Elle avait compris et intégré toute la palette que notre trio permettait. Parfois, ...
    ... elle m’appelait sur Skype alors que j’étais à mon bureau. Par un « Tu es seul ? » elle s’assurait que notre liaison était possible. Alors elle déplaçait son smartphone pour que je découvre la scène ou bien le confiait à Arnaud. Depuis mon bureau j’assistais à leurs parties de jambes en l’air. Je devais baisser le son pour que de l’autre côté de la porte on ne les entende pas, surtout elle qui criait son plaisir qu’elle accompagnait toujours de remarques crues comme des « Regarde sa queue. Il me défonce. » pour m’exciter. La salope savait bien ce qu’elle faisait, car je m’arrangeais pour rentrer plus vite. Comme Suzanne, elle a joué de nous. Parfois en tête-à-tête, parfois avec l’un pendant que l’autre regardait, parfois tous les trois. Mais Arnaud est parti depuis maintenant trois mois. Il est parti de l’autre côté de l’Atlantique pour une période d’un an, enseignant invité par une université prestigieuse. Depuis son départ, ce n’est plus comme avant, même si j’essaie de me faire plus présent. Mais aucun gode, aucun plug, aucun jouet sexuel ne remplacera une vraie queue d’homme. Lorsque je possède Séverine alors que dans ses fesses est fiché un gode, je sens la différence. Ce sandwich, que ma femme et nous aimions tant, n’est qu’une pâle imitation. Que c’était bon de sentir nos deux queues posséder notre maîtresse ! Que c’était bon de la voir sucer l’un pendant que l’autre la possédait ! Je n’y arrive plus. Je sens la fatigue m’envahir chaque jour un peu plus. Chaque jour je ...
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