1. Quatre, cinq, six...


    Datte: 12/07/2020, Catégories: ff, grp, couplus, cocus, Collègues / Travail Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe hsodo, confession,

    ... me lève de plus en plus difficilement, lever avant l’aube pour compenser mes absences au travail, car je m’efforce de rentrer plus tôt. Séverine ne le voit pas, je fais illusion. Je m’arrange pour être toujours « en forme », me faisant aider par la chimie. Séverine ne le voit pas, mais Liona, si. Liona, c’est ma maîtresse ; vous savez, celle que je qualifiais de « thérapeutique », la psy de l’hôpital et donc de mon service. Notre première fois mérite d’ailleurs d’être racontée, car peu banale. Lorsqu’elle est arrivée, elle a fait son petit effet parmi le personnel. Une beauté époustouflante, un port de reine, mais une attitude plutôt froide. Elle faisait penser à la reine Antinéa du romanLa reine des Touaregs, grande, fière, la peau lisse et sombre. Mais en tête-à-tête, son attitude changeait totalement. À l’écoute, presque tendre, sachant extirper sans nous heurter ce que l’on traîne avec soi dans ce monde si difficile de l’hôpital avec la douleur et la maladie. Elle était parmi nous depuis des mois. Tout le monde était passé par son bureau pour un « examen » rituel. Nous, les chefs de service, la voyons plus souvent pour lui signaler un malade ou un soignant en difficulté. Un soir elle frappe à la porte de mon bureau, elle entre toujours aussi impressionnante même si sa blouse ne la met pas en valeur. — Bonsoir. On m’a dit que vous aviez perdu deux jeunes patients.— Oui. C’est toujours plus difficile avec les jeunes.— Je sais. Vous tenez le coup ? Vous voulez qu’on parle ...
    ... ?— Oh, avec le temps on se blinde, mais c’est vrai que parfois on se sent coupable de ne pas pouvoir… Je ne sais pas pourquoi, la fatigue, l’habitude de parler sans détour avec elle, mais je sens ma voix faiblir, trembler. — Je vous trouve fatigué en ce moment. Des soucis chez vous ? Votre femme ?— Pas plus que d’habitude. Elle me reproche de trop travailler.— C’est le lot de beaucoup. Et sexuellement ?— Calme plat. Je rentre trop stressé et j’ai du mal à penser à autre chose que le travail.— Je peux vous proposer…— Non merci, pas de médocs.— Ce n’est pas ce à quoi je pensais. Plutôt une façon de faire tomber la pression. Ce serait bien, autant pour votre vie de couple qu’ici. Je souris : — Si vous connaissez le remède miracle, je suis preneur.— Alors, essayons. Sur ces mots, je la vois fermer la porte à clé, passer du côté de mon bureau où je suis assis, commencer à défaire sa blouse pour m’apparaître bientôt en tee-shirt moulant avec un collant. Son tee-shirt montre qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Son collant est banal, comme doit être banal ce que les soignants doivent afficher pour les malades. Je reste coi, sidéré de cette initiative alors qu’elle continue, faisant passer par-dessus tête le tee-shirt, me montrant une poitrine altière, petits seins fermes, puis le collant et la culotte. Elle est nue devant moi. Elle se glisse entre moi et mon bureau, s’asseyant face à moi. — Prenez-moi.— Quoi ? Comment ?— Je ne vous plais pas ?— Si, si, bien sûr. Mais est-ce que…— ...
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