1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 644)


    Datte: 12/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Et voici enfin, le dernier texte ! - J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - 2 histoires de fessées - LA FESSEE DE MARIE - Je suis Maître Jacques invité d’honneur du Marquis d’Evans dans son immense château. Et à ce titre le Maître des lieux me donne plein pouvoir sur ses soumises et soumis durant mon séjour. Et justement pendant celui-ci, un matin, alors que je rentrais dans la cuisine du Château pour la visiter, je trouvai une de ses soumises, Marie, penchée en avant, ramassant les morceaux d'un verre qu'elle venait de laisser tomber. Elle était vêtue d'un chemisier et d'une jupe courte qui, dans la position où elle était, laissait entrevoir le début de ses fesses, ce qui me donna des idées on ne peut plus salaces. M'approchant d'elle, alors qu'elle venait de se redresser, je l'embrassai légèrement sur ses lèvres et, tout en caressant ses fesses, je lui dis sèchement sur un ton de reproche: - Casser la luxueuse vaisselle du Château, le Marquis ne sera pas content du tout, cela mérite au moins une fessée ! Intimidée, fautive et en balbutiant, elle me répondit craintivement : - Je n’ai pas fait exprès, ce verre de cristal est tombé et… - Silence, j’ai dit que cela mérite au moins une fessée ! - Heu…Si… Si vous pensez que je le mérite, Maître, alors punissez-moi ! Cet accord tacite me fit brutalement bander et, la penchant en avant pour bien ...
    ... dégager ses fesses, je soulevais sa jupe, et commençai à la fesser, d'abord doucement et en me limitant aux zones recouvertes par sa culotte. Progressivement, j'appuyai mes coups en commençant à claquer sa peau nue. À un moment, Marie poussa un cri et je lui demandai si elle souhaitais que je m'arrête . Elle me répondit : - Non, au contraire, allez-y plus fort, Maître, je dois payer la vaisselle cassée. Je baissai alors sa culotte et frappai alternativement, de plus en plus fort ses fesses qui, sous les coups, devenaient cramoisies. À chaque coup, Marie poussais un cri mais ne voulais toujours pas refuser la correction. M'arrêtant, je passai mes doigts dans sa fente et me rendis compte qu'elle était toute mouillée, témoignant de son excitation. Je décidai d'aller plus loin dans la correction. Je redressai Marie et lui demandai de maintenir sa jupe soulevée, debout. Puis, j'enlevais ma ceinture et commençais à la fouetter, d'abord doucement, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que chaque coup de ceinture marque ses fesses d'une traînée rouge, accompagnée d'un cri et d'un mouvement de recul. Je m'arrêtai, vérifiai que sa fente étais toujours aussi émoustillée, puis j’enlevai sa culotte à terre, en fit un chiffon serré dans ma poigne de ma main et je l'enfonçai dans sa bouche afin que ses cris ne réveillent pas tout le Château. Puis je dégrafai sa jupe et lui demandai d'écarter les jambes. Je recommençai alors à la fouetter, en accentuant bien mes coups, d'abord sur ses fesses ...
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