La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 644)
Datte: 12/07/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... tour du bureau puis se mit à tourner autour d’elle, matant son cul de jeune salope, l’effleurant, puis laissant sa main traîner longuement du côté pile. Quel beau sexe, épilé parfaitement, jeune, frais, et qui pourtant avait déjà du recevoir un certain nombre de mâles avec leurs gros mandrins… Certain qu’Emma préférait les gros mandrins, avec des réserves bien juteuses. Son sexe, on aurait cru un abricot, bien doux, sucré, gorgé de jus. Le Maître se rassit, la détailla encore quelques instants avant de lancer : - « Viens sur mes genoux petite salope, fesses sur ma droite ». Après une légère hésitation, les yeux baissés, Emma se glissa en souplesse sur les genoux du marquis. Tête en avant, cheveux dans le vide, seins tirant le chemisier tendu, jambes touchant à peine terre, cul proéminent, véritable aimant pour une main virile d’homme. Main d’ailleurs, qu’elle sentait pétrir successivement, chacune de ses fesses délicates, encore blanche mais qui n’allait plus tarder à rougir. Une main douce, mais elle sentait, grande, protectrice. Une main qui lui pétrissait le cul, comme le boulanger pétrissait la pâte, oui c’est cela sa chair, était de la pâte… Une pâte qu’on malaxait avant de la frapper. Une main comme celle qui lui caressait simultanément la nuque avec délicatesse. Et soudain, la première claque sur la fesse droite, sèche, forte, violente. Et une deuxième pour la jumelle. L’alternance était respectée. Vlan ! Et Vlan ! Encore. Un rythme, une cadence. Et puis au lieu de la ...
... claque cinglante attendue, une douce caresse, la peau d’une main d’homme qui caresse la peau d’une fesse de femme. Emma avait les yeux et le sexe dans le même état : ruisselants. Le bonheur d’une fessée, aussi fort, qu’une bonne baise, voire plus. Bonheur aussi pour celui qui donne, jouissance mentale aussi forte que celle d’une pipe royale, à genoux, comme celles que les lèvres et la langue d’Emma devaient savoir dispenser. Et puis, maintenant, la séance de tam-tam. Les deux mains claquaient légèrement, caressaient, frôlaient en rythme. Le cul d’Emma était un tambour. Elle était un tambour, un tambour qui pleurait, qui gémissait. De bonheur ou de douleur ? Si l’on en croyait le sourire et les larmes, les deux. Une sensation amplifiée, parce qu’elle sentait sous le tissu du pantalon du marquis, un bâton raide, gonflé, lourd. Ensuite un dernier coup violent, sec, puis de nouveau une main douce câline. Et puis une agréable sensation dans son entrecuisse. Un index caressait son clitoris, puis elle se sentit délicieusement fouillée… Un cri, une secousse… la jouissance totale… l’orgasme était là, puissant, véridique, extrêmement violent à se tortiller en hurlant son plaisir trop fort pour le taire. Sir Evans la fit alors se relever, déboutonna sa braguette, fit cambrer Emma contre la table et la pénétra par derrière dans ce sexe trempé. Il n’eu aucune peine à l’enfiler tellement sa mouille était abondante. Le marquis la pilonna très fort en des vas et viens à n’en plus finir quand ...