1. La reine Margo - 12


    Datte: 13/07/2020, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... masqués en prélude au carnaval qui commençait demain. Les clients s’amusaient calmement a la lueur de lampions colorer ou de lampes en buvant du vin, riant, et discutant et tous nous regardait intriguer quand on passait devant eux, la plupart debout ou assis sur le de grand sofa quand ils n’étaient pas en train de baiser ou de se faire baisé. Les clients avait reçu l’ordre de ne pas nous toucher, mais moi et Jeanne avec nos seins énormes qui se baladait sous nos voiles opaques pour eux, attisions le désir d’hommes et de femmes qui nous regardait passé avec envie guider par nos petites orientales.Ce voile d’un blanc crémeux, aussi léger qu’un plume de colibri, me collait a la peau sur le devant, moulant parfaitement ma poitrine mon ventre et mon pubis, et volait derrière moi me chatouillant les fesses tandis que nous déambulions entre ces gens occuper a prendre leur plaisir.On fut amené tranquillement jusqu’à l’avant d’une scène tout au bout de l’immense salle ou deux grands fauteuils nous attendaient. Ces fauteuils en bois au dossier et au siège rembourrer de cuire rouge étaient au centre d’une première rangée de chaises ou des clients s’installaient tranquillement en nous observant intriguer, comme les autres. Ils se demandaient qui pouvait bien se cacher sous ses voiles opaques, et quel était l’intérêt de porter quelque chose qui nous empêchait de voir le spectacle, de boire du vin ou même de baisé sans avoir a se dévoiler. Ils ne pouvaient savoir que nous, on les voyait ...
    ... très bien par contre. Mais, les clients habituels devaient bien se douter qu’il s’agissait de moi et de Jeanne en voyant nos gros seins soulever le tissu léger. Moi et ma sœur étions les deux seules femmes aussi bien busté qui fréquentaient les bordels ensemble pendant le carnaval. Une fois assises, nos guides se mirent à genoux pour se glisser sous nos voiles, entre nos cuisses, on ne vit plus que leurs pieds si mignons qui en émergeaient. Je dus écarter les jambes au maximum en sentant les petites mains de l’Oriental glisser sur mes cuisses vers mon sexe. J’en frémissais déjà, juste de la sentir la, le visage maintenant tout près de ma vulve qui gonflait et s’humidifiait encore plus. Mon corps fut parcouru de délicieux frissons en observant les grosses poutres qui supportaient le toit de l’ancien moulin à farine.-Ouuuu... Fit Jeanne tout bas, tête penchée vers moi, le Gros a autant d’imagination que ta Marie. Quel plaisir que d’avoir une de ses petites orientales entre les cuisses, non !-Oh oui, ma sœur. Tout ça doit te manquer pendant les longues nuits d’hiver dans ton fief.-Ce qui me manque le plus, c’est de dormir avec toi tous les soirs comme quand nous étions jeunes, bien collés sous les draps.-Oui, moi aussi ça me manque cruellement. Répondis-je tout bas en caressant sous le voile les cheveux très doux de ma guide invisible dont je ne devinais que la forme. Je du soulever un peut le voile en penchant la tête pour la voir qu’elle m’embrassait le ventre, si doucement, que ...
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