1. La reine Margo - 12


    Datte: 13/07/2020, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... je le sentais à peine tout comme ses mains sur mes hanches. Mais ces longs cheveux fins me chatouillaient l’intérieur des cuisses me faisant frissonner. J’en avais des papillons dans le bas ventre et devait me retenir pour ne pas la forcer à me manger le sexe immédiatement. Je laisser retomber le voile et maintenant, je ne voyais plus, ni mes seins, ni mes cuisses, ni mon guide. Ce tissu si dispendieux était vraiment fabuleux. Un cadeau digne de la reine que je suis et offert par le maître des lieux.A ma droite, un homme nu, assez gras au poil grisonnant, s’installa, masturbant sa petite queue molle sous ses gros replis de graisse en nous observant. Il portait un masque le loup-garou, ce qui me rappela l’homme-loup du cirque de monstres et son corps si doux recouvert de poil. L’homme me salua en hochant la tête, je fis de même en ne pouvant m’empêcher de sortit ma main droite de sous le voile pour prendre sa queue si douce avec le pouce et l’index pour le branler lentement. Il ôta sa main en appréciant visiblement. Pendant ce temps mon Oriental me donnait des baisers tout autour du sexe, j’en avais des chaleurs.Tout autour de nous les spectateurs s’installaient en discutant calmement tout en se caressant pour la plupart. Tous ces gens étaient riches et habitués à fréquenter des bordels de luxe comme celui-ci. J’en connaissais plusieurs ; de riches marchands avec leurs femmes et des groupes d’amis, des gens avec qui je baisaient souvent pour la plupart et qui devait bien se ...
    ... douter que c’était moi et ma sœur sous ses voiles. Mais, il y avait aussi des inconnus, comme le coquin que je masturbais présentement et qui commençait à gémir doucement en bandant.Devant nous, un grand rideau de velours rouge éclairer par des lanternes posées sur la scène cachait probablement un décor comme au théâtre. Quand toutes les chaises furent prises, trois coups puisant se firent entendre et le rideau s’éleva tandis que le silence ce faisait peut a peut et que la bite enflait sous mes doigts, je pus la prendre à pleine main en la caressant toujours très lentement. Au même moment, la bouche de mon guide se plaqua sur mon nombril ses petits seins si doux effleurant ma vulve, frottant contre l’intérieur de mes cuisses, ses mains glissant sur mes seins pour me pincer doucement les mamelons m’arrachant un gros soupir, même chose pour Jeanne apparemment, juste a l’entendre. Le cul de sa guide soulevait son voile tout comme ses mains, aussi poser sur la poitrine de ma sœur. Nos guides ne pouvaient se voir, mais semblait poser les mêmes gestes, a croire qu’elle c’était entendu pour les caresses a nous prodiguer.Une fois le rideau soulever apparu un décor ressemblant étrangement a celui de ma chambre avec mon grand lit, mais deux fois plus grand que le mien, mon paravent, mon fauteuil, mon armoire, mon grand miroir ovale et une porte-fenêtre donnant sur un balcon, donnant sur un décor peint représentant la ville. Deux lampes de chevet identiques aux miennes éclairaient cette ...