La mère de Julien - Histoires de Sexe

La mère de Julien

... longues de ma vie. Enfin installé sur son canapé, je la regardais nous ouvrir, deux bouteilles de coca et s’asseoir à côté de moi. Elle portait une robe d'été, boutonnée sur le devant, elle était superbe, comme d'habitude.- Tu dois comprendre que tu confonds amour et désir.- C'est quoi la différence ?Avec un soupir, elle ouvrit sa robe et me dévoila ses seins. Elle ne portait pas de soutien-gorge, ses aréoles étaient larges et brunes, quelques petites tâches de rousseurs agrémentaient la beauté de ses mamelons.- Si tu voyais ta tête, j'ai l'impression que tu vas faire une crise cardiaque ! Dit-elle en riant. C'est ça le désir. Touches-les si tu veux...J'étais comme dans un rêve. Doucement je les ai pris en mains, ils étaient lourds, fermes mais pas trop, je les pressais l'un contre l'autre, les faisais remonter. Du pouce, je passais sur ses tétons. Je sentais mon sexe durcir, pulser dans mon caleçon. C'était magique.Lentement, je me rapprochais, elle se laissait faire, aussi, je commençais à les embrasser, a les gober autant que je pouvais. Mon dieu qu'elle sentait bon !Bien sûr, j'étais maladroit, je ne savais pas y faire. D'une tape affectueuse, elle m'intima de faire attention avec mes dents.- C'est fragile une femme, tu sais ? Retires ton tee-shirt, je vais te montrer.C'est la première fois qu'on me titillait les tétons, je ne savais pas que ça procurait autant de plaisir. Les yeux fermés, je sentais sa langue jouer avec moi, passer de l'un à l'autre puis, elle ...

... m'embrassa sur la bouche et m'invita à recommencer.- Mmm... C'est bien mieux, ronronna-t-elle..Je me sentais beaucoup plus à l'aise et lui bouffais les nibards avec volupté. D'une main, elle caressait mes cheveux tandis que l'autre passait dans mon dos, effleurait mes abdos et enfin, se posait sur mon sexe.- Lèves-toi et tiens-toi devant moi.Obéissant, je la laissai me retirer mon pantalon puis mon slip. J'étais tellement excité que mon gland suintait de ce fameux liquide qui précède le sperme. Du bout d'un doigt, elle en cueillie un peu et le goûta.- ça va, tu sens bon. C'est important l'hygiène, rappelles-toi.- Oui, M'dame..En pouffant de rire, elle commença par me picorer de petits bisous, tout autour. Je sentais mon pénis sur son cou, son menton, j'étais de plus en plus nerveux, j'avais peur de tout gicler maintenant.Le sentant probablement, elle me pris rapidement entre ses lèvres.C'était chaud, humide, je la sentais m'aspirer tandis qu'elle procurait de petits va-et-vient avec sa tête.Ma première fellation, c'était génial mais bien sûr, elle ne tarda guère.Dans un long jet, j'éjaculais en elle, j'étais super gêné.- Oh, je.. Je suis désolé..- Si je n'avais pas voulu que tu jouisses dans ma bouche, je te l'aurais dit, mon garçon. Dit-elle en s'essuyant les lèvres. Et voilà, j'ai tué ton fantasme !- Comment ça ?- Rappelles-toi, le désir. Si je ne t'avais pas sucé, tu aurais continué à rêver de moi et ça t'aurait fait encore plus de mal à la longue. Maintenant, tu vas pouvoir passer ...