La mère de Julien - Histoires de Sexe

La mère de Julien

... me caressait les cheveux en m'assurant que ce n'était pas grave, pas grave du tout.- Il est pas mort, vous savez ?- De quoi parles-tu ?- De mon fantasme pour vous.- ..Tu m'as fait jouir, tu pourras revenir...Et c'est ainsi que Madame Catherine Héraut devint mon initiatrice dans le domaine du sexe. Avec elle, j'ai appris tellement de choses.Nous avions un code, si je voyais une serviette rouge, pendre à la fenêtre de sa chambre, je savais qu'elle était seule et disposée à me voir.Nous faisions l'amour dans le salon, la salle de bain, je l'ai fait crier, agrippée à la table de la cuisine. Des fois, elle ne faisait que me sucer, précisant qu'elle avait ses règles. Je ne comprenais pas pourquoi elle ne préférait pas reporter mais elle se contentait de me dire qu'elle avait envie de moi et que mon jus n'était pas encore assez amer pour qu'elle ne veuille plus m'avaler.Bien sûr, je l'avais fait de nombreuse fois, dans sa chatte mais je me doutais que ce n'était pas là qu'elle prenait le plus de plaisir.Elle fini par m'avouer qu'elle était habituée à un plus gros calibre. Manifestement, son mari était monté comme un cheval.D'ailleurs, il y avait une chose qu'elle refusait de faire avec lui, par derrière si je voyais ce qu'elle voulait dire.- Vous parlez de la sodomie ?- Décidément, tu ne t'habitueras jamais à me dire tu..- Non, j'aime bien vous vouvoyer et quand vous êtes vulgaire aussi..- Vulgaire ?? Voyez-vous ça ! Et bien dans ce cas, j'ai envie que tu me fourres ta bite dans ...

... l'cul.. chuchota-t-elle en me mordillant le lobe de l'oreille.Cambrée au maximum, elle m'offrait sa large croupe, en écartant les fesses. Nous n'avions pas de lubrifiant à proprement parlé mais du beurre de karité ferait bien l'affaire d'après elle.Après en avoir mis copieusement sur son fion et mon gland, je la pénétrais.- C'est bon ?- Oui.. Je te sens bien.. C'est agréable.. Continues..Fermement agrippé à ses hanches, je commençais donc, à me mouvoir plus rapidement.- Ah...Ah.. C'est bon, vas-y !!! Claques mes fesses ! Plus fort, plus fort !!! Tires sur mes cheveux !!! Mmmm... Encules-moi vas-y !!!Je l'avais jamais vu dans cet état. D'une main, je lui empoignais les cheveux, la forçant a lever la tête vers le ciel tandis que mes fessées étaient de plus en plus fortes.Le visage crispé, elle se frottait le vagin en même temps, je sentais ses doigts à l'intérieur pendant la besognais. C'était terriblement fort.- T'aimes quand je suis vulgaire, hein ??? Bourres moi, vas-y, défonces mon cul putain !!!!J'en étais presque choqué de la voir aussi délurée mais je n'allais pas laisser passer cette occasion de lui prouver que j'étais un homme de la même hauteur que lui. Enfin, elle finit par jouir dans un long râle.- Ouf, là.. Je crois qu'on a atteint un nouveau stade. Dit-elle en se précipitant vers les toilettes.Notre relation continua encore quelques mois et un jour, je reçu une lettre. Elle m'avait caché jusqu'au bout qu'elle déménageait. Son mari était muté à l'autre bout de la ...