1. Poker Candauliste - 2


    Datte: 17/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... m'as l'air encore très excité... ce serait dommage de ne pas en profiter. Puis, s'adressant également à Marc : — Venez, allons dans notre chambre, nous y serons plus à l'aise. Et se retournant vers moi : — Tu m'attends là, mon chéri ; j'espère ne pas avoir pour trop longtemps... Je vois Marc et Oliver se rhabiller rapidement et suivre docilement Gwen. Marc fait subitement demi-tour prendre la boîte de préservatifs qui était sur la table et monte quatre à quatre les escaliers. Je vois ma chérie quasiment nue monter les marches lentement, suivie de près par ses deux amants. Le silence se fait dans le salon, bientôt interrompu par des bruits de ceinture, de vêtements qui tombent. Puis les premiers soupirs arrivent. Il me semble entendre Marc et Olivier ; je n'ose imaginer ce qui se passe. Je suis dans un état d'excitation incroyable ! Je devrais être frustré de ne pas voir, mais c'est tout le contraire. Je me mets à imaginer ce qui se passe. Je visualise ma conjointe à genoux entre les deux hommes, leurs queues entre ses mains, passant sa langue d'un sexe à l'autre. Je me lève et tourne en rond dans la pièce ; je suis comme un lion en cage. Il me semble maintenant entendre Gwen pousser des petits gémissements de plaisir. C'est bien elle : je l'entends distinctement maintenant. Que lui font-ils ? Ils la caressent, la lèchent, ou peut être qu'ils sont déjà en train de la baiser ? Ses gémissements deviennent d'un seul coup étouffés, comme si elle avait quelque chose dans la bouche. ...
    ... Elle en suce un pendant que l'autre la caresse ? Ou alors il passe aussi sa langue sur son sexe. Finalement, Olivier est sans doute déjà en train de la baiser alors qu'elle suce Marc... Toutes ces pensées vont me rendre fou... mais fou d'excitation. Je me décide à sortir discrètement pour prendre l'air. Je reste sur le pas de la porte. Le froid sec me saisit ; j'arrive un peu à me calmer et commence à bander moins fort. Mais je ne résiste pas ; l'envie est trop forte : je ne reste qu'une poignée de minutes à l’extérieur et rentre. Aussitôt, une mélodie jusqu'à présent inhabituelle parvient jusqu'à mes oreilles. J'entends Gwen crier de plaisir. Le bruit des claques qui lui tombent sur les fesses arrive jusqu’au salon. Ce vacarme va durer pendant presque une heure ; ils doivent se relayer, ne laissant que peu de répit à ma chère et tendre. Une heure d'excitation extrême. En même temps, ces soixante minutes sont un calvaire interminable. Depuis tout ce temps mon sexe est dur comme de la pierre. Je suis complètement fébrile, excité, désorienté... Une dizaine de minutes après que le calme soit revenu, je vois Marc et Oliver descendre enfin les escaliers. Ils s'approchent de moi, un peu gênés. Marc me serre la main sans me dire un mot. Olivier fait de même mais s'adresse quand même à moi : — Gwen a dit que tu pouvais monter la voir. En partant, il ajoute d'un air un bizarre : — Merci... et à bientôt. A peine ont-ils fermé la porte que je monte les marches à la hâte, bien handicapé ...
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