1. Réellement cocu 1/2


    Datte: 06/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... frigo, quelques légumes défraîchis et un morceau de camembert racorni. Que mange-t-elle ?Nous avons écourté la veillée qui devenait pesante. Dans le lit, je me suis forcé à paraître amoureux et je me suis penché vers elle pour l’embrasser. Elle s’est retournée vers le mur. Ne sachant plus que faire, je lui ai demandé si son « irritation » était guérie. Elle a éclaté d’un rire mauvais, m’a reproché de ne la voir que comme un trou à baiser sans penser à son mal qui, puisque je voulais le savoir, s’était aggravé. Je me suis confondu en excuses, la suppliant de croire que je savais attendre. Mot malheureux ! « Tu peux toujours attendre, je ne suis pas une pute qui baise sur commande. » Ce serait drôle si ce n’était pas si triste.Il ne reste plus qu’à me taire et à essayer de dormir. Je me rends compte à cet instant qu’alors que nous nous appelions chaque jour au téléphone, cette semaine ni l’un ni l’autre n’a pensé à le faire une seule fois.Je ne crois pas qu’elle ait quitté le lit dans la nuit.Le lendemain j’ai fait des courses, la cuisine pour le déjeuner. Elle a très peu mangé et je l’ai surprise, un moment après le repas, vomissant dans les toilettes. Elle a semblé mécontente de me voir et a prétexté son écœurement de la veille.Elle est partie courir seule. J’ai pensé un instant qu’elle le rejoignait mais elle est rentrée si rouge et en sueur que j’ai dû admettre la vérité de son jogging. Elle n’avait pas jugé bon de m’y inviter.J’ai profité de son absence pour remplacer mes ...
    ... caméras par des outils plus sérieux et discrets, empruntés à mon travail. Toujours cette idée de vouloir comprendre, d’attendre un mot, une action qui m’expliquera mon malheur.Je me force à lui parler, elle ne me répond que quelques mots, le plus souvent sur un ton las destiné à me montrer que je l’ennuie.Soirée sans repas pour elle qui est montée se coucher très tôt. Cette nuit encore elle n’a pas découché.Cela devient insupportable mais je me sens désarmé. J’ai la certitude que si je l’attaque de front, elle niera mais en trouvera prétexte pour me chasser. Alors je me tais. Elle part de nouveau courir, seule, une bonne partie de la matinée. Elle revient beaucoup plus fraîche que la lourde chaleur ambiante ne le laisserait présager. Cette fois elle l’a rejoint. À son retour, je prétexte que le boulot m’a rappelé : un accident dans l’équipe de permanence du week-end. Elle n’a aucune réaction et, cette fois, elle ne court pas après moi pour m’embrasser. Sur la route du retour, je chiale de nouveau comme un cocu humilié et crucifié.Chapitre 5À mon arrivée à la maison vide, j’hésite et puis un instinct me pousse vers mon ordinateur. Histoire, c’est le prétexte que je me donne, de voir si mes nouvelles caméras sont plus efficaces.Elles le sont : malgré la pénombre du salon et de la chambre, on y distingue tous les détails. Et je comprends vite que mon absence a fait l’affaire du jeune Franck. Il a dû se présenter moins d’une heure après mon départ. Pas seul. Deux copains de son ...
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