Réellement cocu 1/2
Datte: 06/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
... l’amour avec vous… sinon je dis à votre mari que vous baisez avec mon père.Je suis soufflé de la menace à deux balles de ce petit con. Qui pourrait me faire croire que ce gros imbécile… Mais l’expression d’Agnès, d’un coup, me stupéfie. Elle a peur. — Non, non. Non. Il ne faut pas lui dire. Comment le sais-tu ? — C’est pas compliqué à comprendre… il vient chez vous tous les matins. Ce matin je suis rentré dans la maison après lui, vous gueuliez comme une pute… Je vous ai même vus, la porte de la chambre n’était pas fermée. Je vais le dire à votre mari. — Non, non, il ne faut pas le dire… — Alors je veux baiser avec vous…Je vois Agnès affolée, cherchant à gagner du temps. Elle s’est redressée, cache comme elle peut ses seins et son pubis. Le garçon avance vers elle, pose de nouveau ses mains sur les seins. Elle reste prostrée, incertaine. Franck caresse la poitrine, plutôt brutalement, se penche de nouveau pour l’embrasser, elle se laisse faire, rigide, perdue, sans participer. Le garçon poursuit les mêmes gestes rudes sur le ventre et puis il change d’avis, se redresse et ouvre son short, il est debout devant elle qui est toujours assise sur son matelas. Il sort une queue raide et puissante. — Suce-moi.Agnès est perdue, déchirée. Il profite de son égarement, att**** la nuque de ma femme et attire sa tête vers sa bite. Un temps la bouche reste fermée et bute contre le gland, il lui tire les cheveux. — Suce, sinon je dis tout à ton mari.Elle finit par ouvrir les lèvres et ...
... avale, progressivement, le manche. — Suce, ma pute.Agnès semble prendre son parti et commence un aller et retour sur le sexe. Ses lèvres sont largement ouvertes et sa bouche déformée. Le garçon a une verge hors norme. Comme son père. Elle le travaille de plus en plus vigoureusement. J’ai vu son expression changer, il y a encore de la surprise mais aussi une résolution, je ne sais laquelle, peut-être l’idée qu’il faut en finir le plus vite possible et faire jouir son maître-chanteur pour s’en débarrasser. Une main tient la queue, l’autre caresse ses couilles.Moi, je suis pétrifié. Il n’y a qu’un seul sentiment dans ma tête : mon amour me trompe. Tous les matins avec ce mec qu’elle prétend mépriser… À cet instant le rapport, forcé, qui commence avec le fils de son amant n’a aucune importance. Quoique… Je suis à trois mètres d’eux. Invisible parce que dans l’ombre de la cuisine et eux, éblouis par le soleil qui les baigne. Et je commence à ajouter un autre trouble à mon trouble d’être trompé. Celui de voir le corps de ce jeune homme caressé, sucé par ma femme. Et je bande à mon tour, bouleversé par la perfection de ces deux corps. Par l’image de cette queue massive, entrant et sortant des lèvres que j’aime tant embrasser.Franck continue d’encourager Agnès à sa façon. — Tu es une belle salope, tu suces comme une pute. Tu vas voir comme je vais te baiser…Elle interrompt sa succion. — Ne parle pas comme ça, s’il te plaît… — C’est comme ça qu’il te parle mon père, hein ! Je l’ai bien ...