Réellement cocu 1/2
Datte: 06/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
... m’ont déshabillée tout de suite, ils m’ont dit qu’ils n’aimaient pas les dentelles. Ils m’ont caressée longtemps pour commencer. Ils étaient gentils. Le notaire m’a léchée. — Tu as joui ? — Avec lui, oui. Il a voulu que je l’encule. Ils avaient un gode sur un harnais. Il fallait que je le défonce en le traitant de putain. Ça l’excitait. Le gode était super gros mais ça rentrait facilement. Il n’arrivait pas à jouir mais il s’en fichait. Il disait que j’étais belle et qu’il me boufferait le cul. Il a voulu me lécher les fesses et que je… il a bouffé ma merde. — Je le connais, il aime être maltraité. Et l’autre ? — Il a été très gentil aussi. Je l’ai sucé et puis il m’a baisée, deux fois. Normalement. Ils ont été très doux. Très polis. — Tu ne t’es pas vraiment fatiguée on dirait. Et après ? — Ils m’ont déposée comme tu l’avais dit, au marché de gros, sur le parking des camions. J’ai… j’ai fait la pute. Il y avait des mecs près de leur camion, je leur ai proposé de leur faire des pipes. Il y en a beaucoup qui voulaient pas. Mais quand je suis montée dans la cabine du premier, les autres ont voulu leur tour. — Combien ? — Huit. — Que des pipes ? — Presque tous, ils y en a seulement deux qui ont voulu faire l’amour. — Tu l’as fait ? — Oui. — Ça t’a plu ma petite pute ? — Tes amis oui, mais les routiers… Ils me tripotaient pendant que je suçais. Leurs doigts partout. Il y en a qui n’étaient pas très propres, même avec la capote, je sentais leur sueur. Il y en a un qui m’a mis ...
... ses doigts dans le cul. Il voulait m’enculer mais j’ai réussi à le faire jouir avec la bouche avant. Écoute… je l’ai fait mais… je veux plus, j’ai eu trop peur…Je sens que l’autre s’agace. — Tu fais ce que je te dis. Je veux que tu me prouves que tu m’aimes. Ce n’est pas à toi de choisir comment. Si je te dis de faire la pute chez des routiers, tu vas baiser chez les routiers. C’est tout.Agnès a compris qu’elle lui avait déplu. — Oui, bien sûr, je t’aime, mais j’ai eu peur tu comprends. Des amis à toi autant que tu veux mais je ne veux pas être seule avec des hommes que je ne connais pas. — Tu n’as pas le droit de dire « je veux » avec moi. C’est moi qui veux. Toi tu obéis.Le ton est glacial, pire que des coups. Je la vois se recroqueviller, souffrir littéralement. Son visage est décomposé. — Je ferai tout ce que tu veux… Tout, tout mais embrasse-moi.Il ne l’embrasse pas, pour lui montrer que, pour ça aussi, c’est lui qui décide. Agnès pleure et gémit des excuses. Elle se traîne aux pieds de son amant en lui répétant qu’elle l’aime, qu’elle fera la pute pour lui avec qui il veut. Il rit : — Je sais ma petite poupée, tu seras obéissante mais il fallait bien que je te montre qui est le maître. Tu es encore trop indépendante. C’est ton mari qui t’a abîmée. Au fait, on va se débarrasser de lui. Ce con m’encombre. Il va recevoir une leçon. Mange-moi dans la main petite pute…Il tend la main et elle y enfouit sa bouche. Je ne vois pas ce qu’elle avale ou renifle. Cela ressemble à un ...