1. Réellement cocu 1/2


    Datte: 06/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... entendu. Et toi tu lui dis que tu es sa pute, que tu feras tout ce qu’il veut, que tu es une salope, que tu lécheras les couilles et la bite. Tu l’as dit non ? Et que tu veux sa grosse queue dans ta chatte ? — Ne sois pas comme lui, je vais faire ce que tu veux mais ne gâche pas tout. — Je veux te baiser maintenant.Agnès le regarde, hésite, puis se laisse glisser en arrière. Elle écarte les cuisses, pose sa main pour ouvrir son sexe et tourne sa tête sur le côté. Vers mon côté. Elle est offerte, elle a renoncé. Son expression est triste et, malgré la situation, terrible pour moi, me touche.Le petit salaud, lui, bien sûr, ne voit pas cela. Il s’allonge sur elle, il tient sa bite et cherche l’entrée. Il la trouve et pénètre d’un coup de reins, sans douceur. Je la vois sursauter et grimacer. Elle a mal. Elle ferme les yeux. Lui il a déjà oublié la prière de tout à l’heure et il reprend ses insultes. — C’est bon hein ! Salope. Putain. Ça te plaît les grosses bites ! Je vais te défoncer la chatte. — Franck. S’il te plaît, va plus doucement, tu me fais mal… — Salope. Et après je t’enculerai. T’en as envie, hein ? Tu aimes ça, te faire trouer le cul. Je t’ai entendue. Tu le suppliais de te la mettre au fond. Même qu’il t’a fait attendre et que tu criais pour qu’il t’encule.Pour moi c’est le même sentiment ambigu, de destruction pour ce que j’apprends et de fascination pour cette queue magnifique qui pilonne ce vagin. Qui entre, qui sort. Franck est très mince et musclé. C’est un ...
    ... petit salaud mais un éphèbe magnifique. Le spectacle est fascinant. Ma propre queue est tendue à l’extrême et me fait mal. J’en ai honte, comme j’ai honte d’être ici.Je vois Agnès entrer progressivement dans l’excitation du garçon. Elle n’a plus mal, au contraire, le plaisir monte. Je la connais bien et j’en reconnais les signes. Elle caresse le dos de Franck, ses fesses, puis embrasse son visage. Il a beau être débutant, il comprend qu’elle prend du plaisir, son rythme à lui s’accélère. Elle, elle suit, commence à délirer : — Oui, oui, oui… !Elle griffe son dos, halète, râle et jouit. Lui continue un moment puis s’effondre sur elle avec un dernier : — Salope, tu es une salope.Ils restent là, épuisés. Sa main à elle caresse ses cheveux à lui.Instinctivement j’ai laissé faire. Ce qui vient de se passer avec Franck n’est pas le plus important. C’est un gamin et pas un concurrent. S’il ne s’agissait que de cela, je crois que j’aurais presque ri et laissé faire. Mais le père… je veux comprendre ce qui pousse ma très tendre et pudique épouse à s’offrir sans retenue à un macho grossier, raciste et, par surcroît plutôt âgé. Je suis perdu et j’agis plutôt par réflexe…Il faut que je parte sans être découvert. Il faut que je prenne le temps de comprendre, de les comprendre. De les épier. Sur la table de la cuisine près de moi, le téléphone portable d’Agnès. Je le prends dans l’idée de regarder ses derniers appels. Voir si elle l’appelle souvent, s’il y a des textos de lui. Ce qui me saute ...
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