Réellement cocu 1/2
Datte: 06/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
... J’arrive à tenir mon rôle et à raconter ma semaine d’un ton léger. De toute façon nous nous parlons presque tous les soirs au téléphone, elle sait l’essentiel. Sa semaine à elle ? Pas grand-chose. Elle n’a vu presque personne et a bouquiné. J’évite de parler du voisin. Le repas tarde et puis nous passons un moment dans le jardin, profitant de la douceur de la nuit d’été. Lorsque je caresse sa main pour lui montrer qu’elle m’a manqué et que j’aimerais lui faire l’amour elle rit un peu nerveusement me semble-t-il… — Chéri, je suis désolée mais j’ai dû att****r une saleté, ça me brûle un peu entre les jambes. Tu ne m’en veux pas si nous faisons abstinence ce soir ?Comment dire non ? Si elle a baisé avec le père ce matin et le fils cet après-midi elle doit effectivement être un peu usée. Je fais donc semblant de croire à son histoire de mycose. Nous montons nous coucher.Le lendemain matin, elle n’est pas plus disponible. Son « irritation » a empiré. Elle m’explique cela très tendrement et si candidement que j’ai presque envie de la croire. Après tout, elle a peut-être vraiment attrapé quelque chose. C’est vrai qu’hier après-midi au moins ni elle ni lui n’ont pensé à utiliser une capote. Je m’accroche à cette idée parce que, sinon, cela voudrait dire que… pas d’envie de moi, donc plus d’amour… que c’est déjà perdu. Si c’est cela, je vis les derniers moments de notre couple.La journée se passe dans la routine de ces pré-vacances : quelques courses, repas dehors, une balade en vélo ...
... le long de la rivière. Tout est banal. Si je n’étais pas rentré si tôt hier, il n’y aurait rien pour découvrir la vérité. Tout de même cela manque de proximité, je n’arrive pas à l’embrasser ou à la prendre dans mes bras, elle esquive chaque fois avec un prétexte léger et un sourire.L’après-midi, je prétexte un problème électrique pour installer mon matériel : deux caméras dans la chambre, dissimulées dans des étagères et une autre dehors, visant l’endroit où elle bronzait hier. Je prie le dieu des maris trompés pour qu’elle ne repère rien.Le soir toujours pas de câlin. Je joue le mari compréhensif et je suis aux petits soins pour elle. Je dors très mal. Un petit mouvement à côté de moi me réveille au milieu de la nuit, elle sort du lit. Je m’attends à l’entendre pénétrer dans la salle de bain mais elle se dirige vers l’escalier. J’entends ensuite le très léger grincement de la porte du jardin. Je viens à la fenêtre et vois sa forme claire traverser la pelouse et se glisser dans le jardin du voisin. Une autre forme bouge dans l’obscurité. Ils se rejoignent, s’enserrent. Ils ne sont qu’à une vingtaine de mètres mais la nuit n’est pas très claire. Ils ne bougent pas pendant un long moment, échangeant, je le suppose sans le voir, un très très long baiser. Puis ils s’éloignent, sans quitter le jardin, vers un matelas sous un auvent. Je ne vois plus rien mais j’entends, même si c’est très léger, Agnès geindre, souffler, et son souffle à lui aussi. Ils essaient d’être discrets mais ...