Réellement cocu 1/2
Datte: 06/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Inceste / Tabou
... l’a embrassé et il a fait immédiatement tomber sa chemise de nuit. Qu’elle est belle ! Lui reste vêtu. J’ai mal réglé le son et je dois tendre l’oreille pour les entendre. L’image elle-même n’est pas fameuse. Il l’appelle « ma poupée » et elle « mon amour ». Il lui demande si le temps ne lui a pas paru long avec moi. Bien sûr il lui a manqué. Il est progressivement dominant, impérieux. — Ton cocu ne t’a pas touchée n’est-ce pas ? — Non. Je lui ai dit que j’avais attrapé quelque chose. Que j’étais irritée. — Il ne s’est pas plaint. — Non, il a dit qu’il attendrait le week-end prochain. — Le week-end prochain ce sera pareil. — Si tu veux. C’est toi qui décide. — C’est moi qui choisis avec qui tu couches n’est-ce pas ? — Oui, mon amour. — Tu es une gentille petite poupée. Et tu n’aimes que moi n’est-ce pas ? — Que toi, bien sûr.Sa main caresse les épaules et le dos d’Agnès. Elle se laisse faire sans bouger encore. Il passe sur les fesses et s’insinue profondément dans le sillon, comme s’il caressait à la fois son cul et l’entrée de son vagin. Elle commence à défaillir et osciller sur place. Il a ramené ses mains sur les tempes d’Agnès et la force à se baisser. Elle a compris l’ordre : elle défait la ceinture de son amant et dégage son sexe. Elle le caresse, le lèche et aspire le gland. Ses mains à lui n’ont pas quitté les tempes d’Agnès et il lui impose un mouvement de va-et-vient qu’elle suit sans résister.Moi je suis fasciné, désespéré et en même temps je bande comme un ...
... fou.Au bout d’un moment, il la relève et lui ordonne de se mettre à quatre pattes sur le bord du lit. Elle obéit sans hésiter, restant là un long moment sans qu’il s’approche. Elle commence à devenir nerveuse, lui dit : — Viens, s’il te plaît, vient me baiser.Il ne bouge pas et semble l’observer. Non ! Il a sorti de sa poche un petit caméscope et filme Agnès qui lui tourne le dos et ne s’en aperçoit pas.Elle continue à réclamer qu’il la baise. — Viens, je veux te sentir. Mon amour, viens me prendre. — Je te baise comment ? — Comme tu veux, encule-moi si tu veux. Je veux que tu me prennes. — Supplie ! — Je t’en supplie, je ferai tout ce que tu voudras.Il a posé sa caméra, vient près d’elle, lui met quelque chose dans la bouche… — Tiens, une friandise pour ma petite pute. — Oui, mais maintenant baise-moi.Il s’approche enfin d’elle, passe une main entre ses cuisses pendant que son autre main tient sa queue, la première main ouvre le passage, il a fléchi les genoux pour se mettre en face de la vulve d’Agnès et d’un coup de reins il la pénètre. Elle a un cri rauque, a****l, de femelle que l’on satisfait enfin. C’est une saillie, la queue massive est impressionnante. Elle n’arrête plus de geindre et de crier — C’est bon, c’est trop bon, va doucement, je veux te sentir bien au fond, j’aime ta queue, je te sens gros, gros…Lui semble très calme, il a passé une main sur sa chatte à elle et doit sans doute frictionner son clitoris. L’autre main caresse les fesses, son pouce s’enfonce dans ...