Quatre moins une = une et deux
Datte: 06/10/2017,
Catégories:
fhh,
2couples,
extracon,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
échange,
entrecoup,
cocucont,
jeux,
Benoît avait mal dormi, mais la fatigue avait eu raison de lui et il avait fini par s’endormir. Pas longtemps, car il avait été tiré de son sommeil par des bruits dans le salon… pas n’importe quels bruits… les halètements d’un homme qui baise, les gémissements d’une femme qui va bientôt jouir… Encore… ils n’en auront jamais assez… il pensait pourtant que, la veille, Constance avait eu son compte d’orgasmes et qu’ils avaient déversé suffisamment de sperme en elle pour la combler… Mais non, il semblait que le sommeil avait réveillé son appétit. À moins que ce ne fût André qui en voulait encore… Pourtant, il s’était bien dépensé, lui aussi, hier… La veille, en cette fin d’été, Benoît et Constance avaient reçu dans leur petite maison de Saint-Brieuc, d’anciens collègues de Vannes, André, célibataire, et Ninon, que son mec venait de quitter. Le repas s’était déroulé dans une ambiance très amicale, chacun évoquant différentes anecdotes, et l’alcool avait coulé, réchauffant les esprits et les corps. Après le repas, ils étaient passés au salon où les libations avaient continué, pendant qu’ils refaisaient le monde. Jusqu’au moment où André lança une proposition, a priori saugrenue : — Et si l’on faisait un strip-poker ? Dans leur brume alcoolisée, aucun des trois autres ne s’était rendu compte de ce que cela signifiait, ni jusqu’où ils pouvaient être amenés à aller. Comme il n’y avait pas de franche opposition à la chose, le jeu s’était mis en place. La saison, l’alcool et leur ...
... insouciance avait fait qu’aucun des quatre, au fil du jeu, n’avait refusé de retirer, l’un après l’autre, le peu de vêtements qu’ils avaient conservés après le repas. Bref, ils s’étaient retrouvés tous les quatre, assis par terre en tailleur, nus comme des vers. Benoît avait regardé Ninon qui, bien que trentenaire, avait un corps d’adolescente, pas très grande, avec de petits seins et de petites fesses. Il l’avait, machinalement, en esthète (?), comparée à Constance, plus grande, au fessier ferme, musclé, et aux seins pleins, très légèrement tombants, à l’aréole large, arrogante. Une belle femme et une jolie femme… Et André avait posé une autre question à Constance : — On danse ? Benoît avait vu Constance accepter l’invitation, se lever, les seins en mouvement, libres, allumer le lecteur, introduire un CD et, aussi nue que la Vérité, se blottir dans les bras d’André, également nu. Pour garder une contenance, Benoît avait convié Ninon et l’avait prise dans ses bras, mais en conservant une distance qui lui évitait de toucher de sa poitrine ses mignons nichons et son ventre, rasé de près, tout en lui parlant pour tenter de la détourner de l’autre couple. Quand les yeux de Ninon se posèrent au-dessus de ses épaules, Benoît n’en comprit pas le pourquoi, mais quand il en vint à se retourner, Benoît se retrouva en face de l’autre couple de danseurs. André, de dos, serrait Constance contre lui de sa main gauche et sa main droite caressait son blanc sein, laiteux, sans vergogne, sans hâte, ...