1. Quatre moins une = une et deux


    Datte: 06/10/2017, Catégories: fhh, 2couples, extracon, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, échange, entrecoup, cocucont, jeux,

    ... beauté… En vain, Benoît était tétanisé par ce qu’il imaginait se passer dans sa chambre, et Ninon n’avait pas pu le faire bander. Lassée, vaguement vexée, elle avait fini par l’abandonner et était partie se coucher dans la chambre d’amis. Benoît était entré dans sa chambre. Sur le lit conjugal, André et Constance, enlacés, s’embrassaient. Les mains de l’homme avaient repris possession des seins et du sexe de Constance tandis qu’elle lui caressait la queue doucement, comme pour ne pas la casser. Benoît réclama son lit, et sa femme. Les adultères cédèrent ; André sortit se coucher sur le convertible du salon, tandis que Benoît rejoignait Constance dans le lit conjugal, celui-là même qui avait failli accueillir l’adultère. S’étant senti ragaillardir, Benoît s’était rapproché de Constance et avait glissé son doigt dans son con, qu’il avait trouvé bien humide. Mais elle avait repoussé sa main, lui disant qu’elle n’avait pas trop envie de faire l’amour avec lui, par égards pour André qui la désirait et qui était couché dans la pièce voisine… Fâché, Benoît lui avait suggéré d’aller rejoindre André, convaincu qu’elle n’en ferait rien, puisqu’elle avait quitté les mains d’André pour dormir à côté de lui. À sa grande surprise, Constance s’était levée, se couvrant à la va-vite d’un peignoir et, sans même prendre la peine de le fermer, elle s’en était allée rejoindre André dans le salon. André, trop excité pour pouvoir s’endormir, s’attendait, sans illusions, à entendre sa presque ...
    ... maîtresse et son mari faire l’amour, et fut agréablement surpris de voir débouler Constance, le peignoir ouvert sur son corps nu, qui s’était penchée vers lui pour lui offrir ses lèvres, ses seins, son sexe. Sans poser de questions inutiles, il lui avait retiré son vêtement, l’avait attirée à côté de lui, et avait repris le cours interrompu de leurs caresses. Benoît, seul dans son lit, était en proie à une tempête de sentiments divers. La jalousie, certes, mais aussi le désir exigent, impérieux et pervers qui, maintenant, le faisait lentement rebander… Il devait faire quelque chose ! Retourner voir Ninon et lui proposer d’essayer à nouveau de baiser ? Elle avait été déçue, humiliée par sa débandade… Ce serait sûrement non ! Comme un somnambule, il s’était levé et était entré dans le salon. Constance était allongée, sur le dos, pendant qu’André l’embrassait tout en lui caressant les seins et le sexe. Benoît s’était assis au bord du canapé et avait regardé le couple qui s’aimait. Son sexe s’animait, reprenait vie… Puis André avait descendu sa tête vers le ventre de Constance et avait enfoncé sa bouche dans son pubis. Constance gémissait, les yeux hagards, tournés vers son mari. Celui-ci, comme un zombi, s’était mis à caresser les seins de sa femme, tendrement, amoureusement. Quand André avait retiré sa bouche du ventre de Constance pour s’allonger sur elle, son sexe avait trouvé facilement l’accès au ventre ouvert, pleurant de désir. Un ferme mouvement de ses fesses avait montré à ...