Fatima
Datte: 19/07/2020,
Catégories:
fff,
couleurs,
Collègues / Travail
Oral
Partouze / Groupe
fdanus,
... lorsque notre hôte revient dans le salon. Elle a surpris notre étreinte, cela ne fait pas de doute. Elle nous sert la suite du repas, comme si rien ne s’était passé. Mais je sens qu’elle est troublée. Je ne peux me retenir : — Chère Fatima, dites-moi, cela vous choque-t-il que nous soyons gouines ? Julie me regarde, interloquée. Je souris à Fatima, qui rougit à nouveau. Elle bafouille, fait celle qui ne comprend pas. J’enfonce le clou : — Oui, je veux dire, que nous soyons homosexuelles… lesbiennes, quoi… dis-je en articulant le mot avec l’expression la plus sensuelle possible.— Euh, non, enfin, je ne sais pas… c’est si étrange…— Vous êtes mal à l’aise ?— Oui, un peu, c’est vrai.— Pourquoi ? Cela vous dégoûte ?— Non, non…— Vous avez déjà fait l’amour avec une autre femme ?— …— Allons, ne soyez pas intimidée, nous sommes entre nous, votre mari n’entend pas.— C’est-à-dire que…— Oui ? Dites-nous…— Quand j’étais plus jeune, avant de connaître mon mari, j’avais une grande amie. Nous étions très proches.— Proches au point de s’aimer ?— Très proches. Je… nous… vous savez, nous étions curieuses, nous découvrions nos corps.— Cette aventure s’est terminée ?— Oui, un jour elle a rencontré une autre femme, plus âgée, qui me l’a prise. J’ai mis longtemps à m’en remettre. Puis j’ai connu mon mari. À ce moment, Julie, étonnée de mon audace et subjuguée de voir sa collègue si réservée nous révéler son passé, se mêle à la discussion. — Mon Dieu, Fatima, jamais je n’aurais deviné que tu…— ...
... Vous regrettez cette aventure ?— Je ne sais pas. Il y a si longtemps… Je me lève et contourne la table. Au risque qu’elle s’effarouche et nous mette à la porte, je m’approche d’elle, me penche. — Est-ce qu’elle vous embrassait … comme cela ? Je la prends par la nuque, plaque mes lèvres contre les siennes et l’embrasse avec fougue. Elle ne se débat pas, mais il faut quelques secondes avant qu’elle s’abandonne, et qu’entrouvre ses lèvres pour laisser ma langue explorer sa bouche. De passive, elle devient vite active, et répond bientôt avidement à mon baiser. Julie se lève à son tour, pose sa main sur son épaule, lui donne un baiser dans le cou pendant que je continue à l’embrasser. Elle veut aussi sa bouche et m’écarte pour l’embrasser à son tour. Fatima est visiblement excitée, elle pousse un petit gémissement de plaisir. Je regarde ma mie lui faire des langues, et cela me fait mouiller. Je passe ma main par l’échancrure de sa robe et la pose sur son sein. Il est petit et ferme, je sens le renflement du téton durci à travers la dentelle. Fatima frémit. Je voudrais qu’elle me touche à son tour, mais elle se contente de se laisser toucher et de répondre à nos langues. Je m’étonne encore qu’elle n’ait pas réagi violemment et qu’elle nous ait laissées faire. Heureusement, ma douce ne m’oublie pas. Par-derrière le dos de notre hôte, elle me caresse la croupe et l’intérieur des cuisses. Elle me regarde, je lui souris. Elle reprend l’initiative : — Lève-toi, Fatima, viens, allons dans ...