Fatima
Datte: 19/07/2020,
Catégories:
fff,
couleurs,
Collègues / Travail
Oral
Partouze / Groupe
fdanus,
... ton salon… Déshabille-toi !— Mais, mon mari pourrait rentrer d’un moment à l’autre…— Et alors, tu crois que cela lui déplairait, de voir trois jolies femmes se donner du plaisir ?— Je ne pense pas. Je ne sais pas. Je serais morte de honte.— Eh bien, pas nous. Allons, déshabille-toi, je parie que tu mouilles déjà.— Je… laissez-moi un peu de temps, c’est si vite…— N’aie pas peur. Regarde, c’est si simple de se mettre nue pour montrer son corps. Julie n’a qu’un bouton à défaire et sa jolie robe tombe à ses pieds. Comme chaque fois que je la vois nue, une bouffée d’amour et de désir m’assaillit : son corps sculptural est fait pour l’amour. Elle ôte son soutien-gorge, faisant jaillir ses très gros seins orgueilleux aux bouts dressés. Puis, dans la foulée, elle ôte son string, révélant son sexe glabre aux lèvres entrouvertes. Fatima ne peut détacher son regard du corps de ma douce. J’en profite pour abaisser la fermeture éclair de sa petite robe, lui dénuder les épaules, et faire glisser sa robe à ses pieds. Elle a un réflexe de pudeur en essayant de la rattraper, mais il est déjà trop tard. Elle est mince, elle porte un string noir qui met bien en valeur son adorable petit cul musclé. Julie s’approche d’elle et passe ses bras derrière son dos pour lui détacher le soutien-gorge, tout en recommençant à l’embrasser goulûment. J’en profite pour ôter mon pantalon et mon chemisier. Un fugace sentiment de jalousie m’étreint. Je les rejoins, les enlace toutes les deux. Aussitôt, Julie se ...
... tourne vers moi et m’embrasse, comme pour me rassurer. Puis elle m’invite à reprendre possession de la bouche de notre hôte. Ses lèvres sont fraîches et sa petite langue agile qui cherche la mienne trahit son désir. Pendant que je la baise goulûment, Julie s’accroupit et lui ôte son string. — Non, je vous en prie. Si mes filles descendaient ? Et mon mari…— Allons, on voit bien que tu as envie de baiser.— Non, je ne veux pas, laissez-moi tranquille !— Fatima, je vois ta mouille qui dégouline de ta petite moule. Viens voir, Cécile ! Je me recule, pour contempler Fatima maintenant nue dans ses escarpins. Elle est superbe. Son pubis est rasé, seule une petite touffe de poils courts couronne sa fente, taillée en forme de ticket de métro. Ses lèvres sont gonflées, lisses, et luisantes déjà de son jus. Si son esprit se refuse encore à s’abandonner, son corps, lui, est déjà avide de plaisir. Je passe derrière elle, lui prends les poignets pour l’immobiliser. Ma douce pose ses mains sur ses cuisses, approche sa langue de son entrejambe. Elle lui lèche l’intérieur des cuisses, remonte vers le pubis. — Écarte les cuisses, lui commande-t-elle. Fatima obéit, vaincue. Elle avance même son bas-ventre pour venir au-devant des caresses que son sexe exige. Lorsque la langue de ma mie atteint sa fente, Fatima ne peut réprimer un gros gémissement. Je connais les talents de Julie pour sucer une chatte. Je sais que Fatima en sera bientôt réduite à une femelle en rut, pantelante de désir, suppliant ...