LE PAPILLON (6)
Datte: 21/07/2020,
Catégories:
Hétéro
... grande discussion. Adam et mon épouse ont repris leurs places et conversent avec Andrea. Je reprends ma place dans un « pfiouu ça fait du bien » qui fait marrer Andrea. « Je l’ai oublié à la maison » me dit mon épouse alors que je lui fais remarquer l’absence du livre. Elle me dit l’avoir cherché un moment avant de finalement revenir à la plage. Adam est aussi revenu lui aussi, il sirote son verre le regard perdu vers l’océan. La boule d’acide dans mon estomac a complètement mis les voiles, je ne sais plus ce qui me prend. Finalement la journée passe rapidement. Nous nous baignons, mangeons, buvons. Nous sommes en bonne compagnie et c’est très agréable. Adam est intelligent, a de l’esprit. Nous nous découvrons peu à peu. Je ressens un mélange teinté d’admiration et de compétition, je suis sûr qu’il ressent la même chose à mon égard. J’ai aussi très bien réussi dans la vie. Ma femme est belle, je suis moi-même très séduisant. J’entretiens mon corps tous les jours pendant une heure, et mes abdos n’ont rien à envier au sien. Nous convenons de nous affronter un jour prochain sur un court de tennis. Notre déjeuner est succulent, crabe, poisson grillé au barbecue, et vin blanc glacé. Les liquides accumulés grondent dans mes couilles, j’ai une furieuse envie de pisser. Je me lève et surprend la bouche d’Andréa me gratifier d’un « encore ? » amusé. Nous rions à cette blague et je me dirige vers les toilettes des hommes. Je ferme la porte, relève la cuvette, baisse mon short et sors ...
... ma queue. La chaleur la rend gonflée. Un jet de pisse part en direction des toilettes. Mes yeux étudient cet endroit. Epuré, en bois marron. A mesure que ma vessie se vide, je ressens un soulagement, un poids me quitte. J’évacue mon stress . Ma besogne presque assouvie, je jette un œil vers la cuvette alors qu’un détail attire mon attention. Ma vue se concentre sur l’objet … Je range mon sexe dans mon maillot et me penche pour me saisir de la chose, mes doigts s’écartent et ma main se dirige telle un tentacule vers ce que je crois deviner. Au sol je saisis les morceaux de tissus noirs réunis les uns aux autres. J’attrape cette multitude de fils de soie, coincés par une bande de soie plus large. Les fils sont noirs, la matière légère, glissant hors de mes doigts. J’observe le pompon que je tiens au creux de ma paume. Je suis frappé par le choc, un tremblement secoue ma main. C’est le pompon de ma femme, dans les toilettes des hommes. Mon poing se ferme et enserre l’objet de décoration qui ornait le maillot de mon épouse ce matin même. Je revois la cuvette fermée à mon entrée dans la cabine, j’imagine ma femme assise sur celle-ci, Adam lui faisant face. Le maillot baissé, il a pris la bouche de mon épouse. Sa queue cogne au fond de la gorge, clapotant, repoussant la glotte, étouffant mon amour. Mon poing est contracté au maximum, et mon bras tremble. Une vague de chaleur s’empare de mon visage, je me sens humilié. Des flashs m’éblouissent, sa queue luisante est étouffée par les ...