Colis piégés
Datte: 22/07/2020,
Catégories:
ff,
fplusag,
Oral
Lesbienne
... la sienne sur la table basse. — Je voulais te remercier pour m’avoir écoutée l’autre jour, ça m’a fait du bien d’exprimer mes doutes. Tu es gentille. Je t’apprécie beaucoup.— Moi aussi, je t’aime bien.— Je croyais que tu me voyais comme une vieille bientôt casée qui t’imposait sa tronche enfarinée chaque samedi !— Tu t’es jamais demandé comment ça se faisait que j’avais un colis à t’amener tous les samedis ?— J’avais bien remarqué que tu venais tous les samedis, mais…— Je m’arrangeais. Je gardais tes colis sous le coude pour pouvoir te les livrer chaque samedi. Et voir ta sale tronche. Seulement la tienne… Je sais que tu es seule le samedi. Moment de silence. Dans ce salon lumineux, éclairé par le soleil qui darde ses rayons sur la baie vitrée, sur ce canapé d’angle que recouvre un plaid soyeux pour les soirées fraîches devant la télé, deux femmes se regardent. Sans un mot, leurs yeux s’expriment. Le désir enflamme leurs pupilles, les respirations accélèrent, leurs doigts tremblent. Juliette pose son verre, puis reprend sa place au fond du canapé. Elle attend. Elle a envie elle aussi. Mais c’est à Zoé de faire le premier pas. Zoé se lance finalement, l’hésitation, la morale, l’infidélité, elle dépasse tout ça, l’oublie pour profiter de ce moment. Elle rejoint Juliette sur le canapé et l’embrasse. Un baiser où elles expriment tout leur désir. Il est long, un peu violent, plein de leurs envies refoulées, de ces non-dits, d’une certaine frustration. Zoé déshabille sa ...
... partenaire, elle n’en peut plus de ces habits qui l’enlaidissent. Les chaussures moches, mais pas ses petites socquettes rose pâle toutes mignonnes. Elle les laisse. Le pantalon trop large, mais pas sa jolie culotte de coton blanc. Elle la laisse. Ce sweat jaune poussin difforme, mais pas son soutien-gorge blanc sans prétention. Elle le laisse. Juliette veut se lever pour dévêtir Zoé à son tour, mais d’une main ferme, elle est repoussée dans le canapé. Elle assiste en spectatrice au strip-tease rapide de la future mariée. Sous sa robe légère, rien. Ou plutôt, tout un trésor, un délice qu’elle offre à sa jeune factrice. En la rejoignant sur le canapé, Zoé se saisit de la casquette et la pose sur le crâne de sa propriétaire étonnée. Des yeux qui disent : — C’est comme ça que tu me veux ? Un petit sourire pour toute réponse et Juliette termine elle-même son déshabillage. Culotte et soutien-gorge volent dans le salon et s’accroche au hasard, qui sur une chaise, qui sur une poignée de porte. Nues, les deux femmes se serrent l’une contre l’autre, leurs corps chauds, bouillants de désir, se frôlent puis se frottent. Zoé embrasse sa jeune partenaire de partout, ses mains découvrent les moindres parcelles de son corps, ne s’attardent nulle part, mais n’oubliant rien. Enfin, Zoé s’attaque aux parties intimes, cachées, sensibles. Les seins durs et arrogants de la jeune postière sont léchés, aspirés, mordillés. Son ventre doux est embrassé, caressé, cajolé. Gourmande et dirigiste, Zoé s’agenouille ...