Claude-Marie: Cahier 3 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 3

... et visiblement il la masturbe un instant. Il n'en faut pas plus pour qu'elle doive abandonner la queue dans sa bouche momentanément pour prendre son souffle et lâcher un long gémissement. Le jeune devant elle force sa queue dans la bouche de ma mère. Le jeune derrière elle se redresse et sans ménagement il la pénètre d'un grand coup. Je suis obnubilée par ces images. Je repense à tantôt. Je me suis exhibée pensant sauver ma mère. Mais elle n'avait pas besoin d'être sauvée visiblement. Je devrais être fâchée ou même humiliée, mais je suis plutôt excitée. Je sursaute quand Sarah place sa main sur ma cuisse. Ma mère est maintenant couchée sur un des jeunes hommes. Elle a une queue fichée dans son cul et une dans son vagin. Elle lèche les glands de deux autres queues devant elle. Sarah caresse ma cuisse. Je me tourne vers elle. -- Cela t'excite n'est-ce pas? Je lui fais signe positivement. Elle me fait un sourire tendre. -- Cela m'excite aussi. Ne sois pas en colère. Ta mère nous obéissait. Elle aime obéir. Ta mère nous appartient tout comme Jessica. Mais contrairement à ta mère, nous allons partager ma fille avec toi si tu respectes nos consignes. Je hoche à nouveau la tête positivement. Sarah me dicte quelques consignes qui doivent gouverner ma relation avec ma mère et Jessica. Elle me les fait répéter. Puis elle me fait un sourire. Elle enlace un bras autour de mon cou et regarde le reste de la vidéo avec moi. Mon supplice aura duré près de quarante-cinq minutes avant que ...

... Sarah invite Jessica et ma mère à nous rejoindre et qu'elle quitte la maison avec sa fille ensuite. À la fin de la vidéo, l'ensemble des douze jeunes avaient éjaculé plus d'une fois dans ma mère. Dans son vagin, dans son anus et dans sa bouche. Elle était littéralement couverte et pleine de sperme. Je ne vais plus jamais pouvoir la regarder de la même manière même si une des consignes est d'obéir à ma mère et de le donner le respect que je lui dois comme sa fille.Mardi 13 août 2002 Avant l'opération, il avait été décidé que je passerais ma convalescence chez ma mère. Mais je n'en peux plus. Je veux retourner à l'appartement. Je veux retrouver Max. Je veux retrouver ma vie d'avant l'opération. Vendredi dernier, je suis retournée à la clinique après une semaine qui m'a semblé interminable. Je dors continuellement. Mes seins sont douloureux. Mes aréoles et mes mamelons se sont définitivement étendus, granuleux, bombés et pigmentés. Ils sont foncés et distinctement visibles à travers mes t-shirts pâles. Je sens souvent un picotement dans ma poitrine. C'est étrange puisqu'on m'avait dit que je ne devais que ressentir une sensation d'étirement dans ma peau. Malgré les assurances de ma mère que tout va bien, j'ai l'impression que quelque chose n'est pas normal avec mon opération. Ce n'est que lorsque je retourne à la clinique que je comprends ce qui se passe avec mon corps. Une infirmière me retire délicatement les petits points de suture aux endroits où de la graisse a été prélevée. ...