Claude-Marie: Cahier 3 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 3

... distingue clairement une masse noire à mon côté. Je dois me concentrer pour reconnaître l'homme. Je n'arrive qu'à émettre un mince filet de voix pâteuse de surcroit. -- Nathan! Il se recule brusquement. Mon regard est attiré vers sa queue qui déforme son pantalon de coton. J'attrape son bras et je le tire vers moi. -- Non. Continue. J'écarte le drap et je me masturbe ouvertement pendant qu'il reprend ses caresses. Je ferme les yeux et je place une main sur la sienne. Je suis sur un nuage. Je sens les bandages qui tirent ma peau. Mes seins me semblent trop gros. Il titille mes mamelons douloureux. Rapidement, je sens la douleur se dissiper et mon orgasme s'approcher. Je jouis en glissant à nouveau dans le coma. Je me réveille à nouveau. J'ai encore l'impression de rêver tout en étant éveillé. J'entends chuchoter autour de moi. J'ouvre difficilement les yeux. Je sens tout mon thorax couvert de bandages. Des pansements compressent mes seins. J'ai un peu de douleur diffuse. Je me sens flotter. Je n'ai aucune idée de l'heure qu'il est. -- Elle se réveille. J'arrive à reprendre mes sens. Je vois deux femmes. Au bout de quelques secondes, je réalise que ma mère est près de moi pendant qu'une infirmière noire aux cheveux blancs courts prend mes signes vitaux. -- Comment vas-tu ma chérie? J'émets un grognement inaudible avant de pouvoir parler. -- J'ai mal... La nausée... L'infirmière me répond tout en m'injectant quelque chose. -- C'est normal, détendez-vous, tout ira bien. Je ...

... regarde autour de moi. Je suis dans la salle de réveil. Il n'y a personne d'autre que ma mère et l'infirmière. Je repense à Nathan et je réalise que c'était probablement un rêve. Je glisse encore dans le coma. Quand je me réveille à nouveau, je me sens en meilleure forme. Je suis dans ma chambre. Je n'ai plus la nausée et la douleur est diffuse. Ma mère est assise près de moi. J'ai le temps de l'observer. Elle a beaucoup changé. Elle s'est épanouie dans les dernières semaines. Elle est tellement plus sexy que je pourrais l'être. Malgré la situation et l'éclairage cru, elle est parfaite. Malgré son maquillage intense, elle présente un côté doux que ses courbes soulignent. Ses gros seins semblent vouloir s'échapper de sa blouse trop petite et trop transparente. Son collier qui gaine son cou semble mettre encore plus en évidence ses seins en découpant son cou. Elle se tourne vers moi. -- Tu es réveillée! Comment vas-tu ma chérie? -- Je vais bien... je crois. Je glisse mes mains sur mon thorax. Je sens des petits bandages. Je glisse mes mains délicatement sur mes seins. Tout devient très réel. J'ai des seins et ils semblent plus gros que ce à quoi je m'attendais. Je suis déçu que Max ne soit pas là. -- Tu es tellement courageuse. Je souris à ma mère. Au même moment l'infirmière entre avec le docteur Brown. L'infirmière se dirige directement vers le sac de perfusion et sans dire un mot elle va ajouter un petit sac qu'elle connecte aux deux déjà en place. -- Bonjour Marie-Claude. Comment ...