1. Claude-Marie: Cahier 3


    Datte: 07/10/2017, Catégories: Transexuels

    ... faire. Au moins, j'ai l'impression que mes pulsions redeviennent contrôlables. Mon érection toujours présente semble avoir diminué d'intensité. À tout le moins, mon sexe ne me fait plus mal. Après un moment, une bille de lait s'était formée sur chacun de mes mamelons. Elle me donne une courte pause pour que j'utilise le tire-lait seule. Finalement quand le maquillage semble lui plaire elle me fait signe. -- Viens. J'ai préparé tes vêtements. Elle me guide jusqu'à ma chambre où est disposée toute ma toilette. Chaque morceau semble raffiné, recherché et délicat. Tout cela semble avoir une fortune. Il y a une robe de lainage gris qui semble parfaitement coordonnée avec des bas du même lainage. Je n'ai jamais vu cela. La robe me semble petite. Je vois un corset de fine dentelle noire. De fines jarretelles de soies y sont attachées. Il y a aussi un boxer-string en dentelle qui se coordonne avec le petit corset. Je m'approche pour prendre un magnifiques redresse-seins rouge vif en fine dentelle. Je vois alors une boite avec des bottillons en cuir verni gris. Les minces talons font au moins quatorze centimètres. -- Allez, nous n'avons pas toute la journée. -- Cela a dû couter une fortune! -- Tu n'as pas la moindre idée. Quelqu'un t'aime beaucoup. Jessica m'aide à m'habiller. La délicatesse des vêtements les rend aussi fragiles. Je pourrais facilement faire une maille à ma robe ou dans mes bas avec mes ongles. Quand elle a terminé, elle me place devant une glace pour que je puisse ...
    ... m'observer. Je réalise que la robe moule parfaitement mon corps. Le lainage est tendu ce qui fait ouvrir les petites mailles et rend la robe translucide. La lumière de la fenêtre derrière moi a pour effet que je vois entièrement mon corps se découper sous la robe. Elle épouse ma peau si parfaitement que je peux voir le bombement de mes aréoles, leurs éminences et le mamelon qui pointent fièrement. Je rougis quand mon regard glisse vers mon entrejambes. Ma queue turgescente est visiblement gainée par la robe et la déforme. Même en regardant l'ensemble de mon corps, malgré mon maquillage suggestif qui attire le regard vers mes yeux, je ne peux détourner mon attention de la saillie qui déforme mon pubis. Jessica voit mon désarroi. Elle caresse mon visage et mon bras. Je ne peux sortir comme cela. Elle semble lire dans mes pensées. -- Ça va aller. Va dans le salon et attends-moi. Je lui obéis. Je l'attends debout au centre du salon. Je ne veux pas m'assoir ayant peur de déchirer ma robe. Je suis à la fois excitée et effrayée. L'attente est interminable. Je m'imagine différents scénarios. Ils finissent tous par être sensuels. Cela ne m'aide pas à désengorger ma queue. Je réalise que je pense continuellement au sexe depuis plusieurs jours, en fait depuis que j'ai été opéré. C'est devenu une obsession comme une blessure qui démange continuellement. Je suis perdue dans mes pensées quand j'entends le claquement des talons hauts de Jessica qui s'approche. Mon cœur bat la chamade. Elle ...
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