Claude-Marie: Cahier 3 - Histoires de Sexe

Claude-Marie: Cahier 3

... ma queue bandée. Je me sens rougir. -- Tu peux y toucher... À tes seins... Je porte mes deux mains à mes seins. Je les soupèse. -- Fais attention à tes deux plaies sur tes hanches. N'enlève pas les petites bandelettes. Elles vont tomber par elles même. Si elles décollent en roulant, coupe le petit bout qui est décollé et laisse le reste en place. Si tu y fais attention, tes cicatrices seront très belles, très peu visibles. Le docteur Brown est un expert. Lentement je glisse mes mains sur mes seins. Je les découvre centimètre par centimètre. La peau semble tendue. Quand mes doigts glissent sur mes mamelons, j'ai l'impression d'avoir une petite défaillance. -- Regarde-la donc! Elle mouille. Je caresse mes mamelons avec mes pouces. Je sens ma queue qui me fait mal tant elle est bandée. Les deux femmes me regardent silencieusement. J'entends le bruit de la pompe qui transfère en moi régulièrement un mélange d'hormones, d'opiacés et d'autres médicaments pour lancer définitivement ma transformation. Je sens mes pulsions sexuelles augmenter depuis que je suis branché à cette machine. Ma vision du monde aussi. Je ne sais pas comment l'expliquer, mais je me sens plus docile et plus heureuse. Je ferme les yeux quand je passe mes ongles sur mes mamelons. Je me sens traversé d'une décharge électrique qui précède un orgasme puissant. -- Oh là là! La demoiselle se retenait depuis longtemps. J'entends les infirmières qui s'éloignent. Mon corps est encore secoué par l'orgasme. J'ouvre les ...

... yeux pour réaliser que je suis devant une glace qui revoit mon image. L'image d'une jeune fille mince avec des seins en forme de poires. Mes aréoles sont larges et rebondies. Mes mamelons pointent fièrement devant moi. Je suis hypnotisé par mes seins et je sens ma queue qui durcit à nouveau. Je vois à mes pieds une petite flaque de sperme. Un filet de lubrifiant coule lentement de ma queue vers le sol. Je reste ainsi devant la glace à me caresser jusqu'à ce que mère arrive et brise le sort que mes seins semblent m'avoir jeté. Je rougis à la vue de ma mère et je réalise que je ne peux pas me cacher. Alors j'assume impudiquement la situation. Je me tourne vers ma mère la queue bien droite devant moi. La robe de ma mère la cache très peu. Elle est trop courte, trop transparente et trop échancrée. Le bas présente une fente à la gauche qui remonte jusqu'à ses hanches laissant voir clairement qu'elle ne porte rien dessous. En fait, cette fente remonte jusqu'au bas du décolleté de la robe. Le dos de la robe s'attache dans le haut pour former un col qui enserre son cou. Pour compléter le tout, elle porte des escarpins beiges vernis. Son apparence est émoustillante et n'aide en rien mon érection. Elle porte à l'épaule un gros sac de cuir noir qu'elle dépose avant de s'approcher de moi. Elle met ses mains sur mes épaules en évitant le tube qui est connecté à mon bras. -- Que tu es est belle ma chérie! Magnifique! Ma mère glisse ses mains délicatement sur mes seins. Elle les regarde ...