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Mailez-vous de vos affaires...
Datte: 24/07/2020, Catégories: fh, ff, ffh, couple, extracon, Collègues / Travail telnet, vengeance, chantage, revede, intermast, Oral pénétratio, fsodo,
... décoinces j’espère. Tu fais des pipes maintenant ? J’espère qu’il aime ça, parce que je vais lui en faire une bonne moi. Tu t’es fait enculer ? Moi j’aime bien de temps en temps. Et je peux te dire qu’il me mettra la purée dans le cul ! Il est bien le film, hein ? Ça donne des idées. Tu as vu les scènes de baise entre filles ? J’avoue que depuis la dernière fois j’y pense beaucoup. De t’avoir pelotée l’autre jour, ça m’a fait quelque chose. Depuis, je mouille quand je fantasme là-dessus. Françoise ne parlait pas mais elle était complice. Quand Christine s’approcha d’elle et mit la main dans son décolleté elle ne résista nullement. Christine avait pris en main le sein droit de Françoise et elle le caressait franchement. — C’est vrai qu’ils sont sexy tes seins… Françoise sentait ses tétons durcir. Elle déglutit. Christine descendait vers le sexe. — Écarte un peu les cuisses… Dis-donc, tu aimes ça on dirait… Christine se pencha et lui suça un sein pendant qu’elle lui frottait la raie. Elle sentit le désir qui surgissait entre elles. — Je t’emmène ce soir à l’hôtel. Si tu n’es pas là, je dis tout. Mais elle savait qu’elle n’avait plus besoin de menacer. À 18 heures, elles partirent toutes les deux au formule1. Elles passèrent la soirée à se caresser. Christine commandait et Françoise obéissait avec zèle. Quand elle rentra à la maison, elle prétexta un travail en retard et pour se faire pardonner exerça tous ses nouveaux talents sur Pascal qui n’en demandait pas tant. Elle ...
... alla jusqu’à lui demander d’utiliser des mots crus ; ça l’excitait, ça la faisait bander… Françoise se lâchait mais elle ne perdait pas la tête. Plus elle devenait ce nouveau personnage de nympho, moins l’issue de la situation avait d’importance. Christine perdait son emprise à chaque fellation. Tout révéler ? La belle affaire. D’ailleurs il ne s’était rien passé, en comparaison de leur passion récente. Arriva le jour fatidique où Christine passa au bureau pour demander à Françoise de l’inviter à dîner un de ces soirs. Elle en profita pour s’asseoir sur le bureau, relever sa jupe et lui dit : — Allez, lèche-moi, j’en peux plus. Françoise le fit avec un réel plaisir et l’invita pour le soir même. — J’apporterai un petit film ! Répondit Christine. Françoise fut directe avec Pascal. Elle avait trouvé une copine aussi échauffée qu’elle au boulot. — Tu sais, la fille qui m’avait ramené ? Elle ne pense qu’au cul. J’ai vraiment envie qu’on se la fasse tous les deux. Ça te branche, mon amour ? Depuis hier, je l’imagine en train de te sucer devant moi et je dois dire que ça m’excite. Je n’en reviens pas des idées qui me passent par la tête. Pascal n’avait aucune objection. Quand Christine arriva, les présentations furent vite faites. Françoise était déjà nue dans la salle à manger. — Viens Chris… Mets-toi à l’aise. Attends, je te déshabille devant Pascal. Regarde mon chéri. Elle est bandante tu ne trouves pas ? Asseyez-vous dans le canapé. Je vais vous caresser pendant que vous faites ...