Mailez-vous de vos affaires...
Datte: 24/07/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
telnet,
vengeance,
chantage,
revede,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... Je vais me déshabiller, mets le film. Françoise s’exécuta. Elle était trop préoccupée pour voir dans la situation autre chose que le déroulement inéluctable d’une malédiction qui la poursuivait, elle, victime d’un chantage dont elle se demandait si elle sortirait un jour. Mais dès qu’ils furent dans le canapé et que le film eut commencé, elle se rendit compte que cela l’excitait aussi. Elle n’avait jamais vu de porno avant. Elle ne pensait pas que l’effet de ces images l’atteindrait, et pourtant, très rapidement elle mouilla, et se mit à caresser la verge de son mari qui était dure comme du bois. Lui, la caressa aussi, ponctuant la séance de : — Tu aimes hein ? T’es chaude dis donc ! Françoise comprit vite que la fellation était la figure imposée dans pratiquement chaque scène et comprit ce que «pratiquer» voulait dire dans la bouche de Christine. Après un court moment d’appréhension à la pensée du sperme dans la sienne, elle se décida à essayer, pensant que la conclusion de l’acte pourrait se faire par un va-et-vient vigoureux du poignet. Jetant un oeil sur ses profs cinématographiques, elle se mit à sucer de plus en plus langoureusement Pascal qui semblait aux anges. Et quand il manifesta la proximité de la jouissance, elle se retira et le finit à la main. — Dis donc, t’es sûre que c’est la première fois ? Lui demanda Pascal avec un petit rire de satisfaction.— Oui, ça te plaît ?— Ah ça oui ! Et toi ?— Je voudrais que tu me baises maintenant. J’en peux plus. La façon dont ...
... elle avait dit cela ragaillardit aussitôt Pascal qui la prit fougueusement. Elle gémissait comme jamais, elle pleurait de plaisir avec des petits oui irrésistibles. Elle prit la main de Pascal et lui suça le pouce comme s’il s’était agi de son gland tout en se caressant. Et enfin, elle poussa un cri de jouissance doux et long, entrecoupé de pleurs : — C’est bon, c’est bon… Elle prit son mari dans ses bras. Elle lui était reconnaissante. Et à Christine, donc… Les évènements prenaient un tour inattendu. Françoise découvrait le plaisir sexuel dans toute son intensité. Pascal essaya même la sodomie mais elle n’aimait pas vraiment ça. Ils ne recommencèrent pas. Pendant quelques jours, chaque soir, ils révisaient leurs leçons de baise et retrouvaient l’ardeur de leur première rencontre. Françoise aimait prendre des poses obscènes, montrer sa chatte en écartant bien les cuisses, tenir la verge de Pascal dans la paume de sa main et se pencher pour la mettre en bouche pendant qu’elle se touchait. Elle le suça devant le miroir de l’armoire de leur chambre pour se voir. Ça l’excitait foutrement. Elle se préparait pour son retour le soir. En jupe, sans culotte, ni soutien-gorge… Pendant ces journées de bonheur, elle n’entendit plus parler de chantage ou de menace. Christine revint une seconde fois à la charge. Elle s’invita dans le bureau de Françoise et l’emmena dans une réserve à une heure où personne ne traînait par là. Elle lui ordonna une fois de plus de se dénuder. — Alors tu te ...