Mailez-vous de vos affaires...
Datte: 24/07/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
telnet,
vengeance,
chantage,
revede,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... Françoise était fortement troublée de s’apercevoir qu’elle vivait dans l’entourage de son correspondant sans qu’elle eût remarqué quoi que ce soit. Le fait qu’il fasse attention à son apparence la flattait. Elle recommença le lendemain. De nouveau, il ne se passa plus rien pendant quelques jours. Françoise était en attente. Il lui tardait que son correspondant lui fasse signe. Par contrecoup, elle se faisait plus câline avec Pascal, prenant sa main pour la poser sur le sein, se frottant à lui de temps en temps avec un petit soupir suggestif, palpant son entrejambe subrepticement lorsqu’ils s’asseyaient côte à côte dans le canapé du salon. De petits gestes, pas plus, pas moins que de quoi patienter avant de nouveaux messages qui, elle commençait à s’en douter, l’exciteraient encore un peu plus. Quelque temps plus tard arriva donc le texte suivant : « Je te remercie pour tout. Je te dis au revoir. Puisque notre correspondance est décidément à sens unique, elle n’a pas de sens. Je regrette simplement que tout ce plaisir que j’expérimente aujourd’hui, tu ne puisses pas à ton tour le connaître car il est incroyable pour moi. Hier encore, après avoir déjeuné, j’ai pris ma femme dans mes bras et remontant la main sous sa robe je suis allé la caresser entre les cuisses. Elle n’avait rien que sa nudité. « Enfin ! M’a-t-elle dit, tu aimes quand je suis nue sous ma jupe ? Moi, ça me fait frissonner de savoir que tu vas me la relever ou me demander de la lever pour toi. Je me sens ...
... encore plus nue que nue, si tu vois ce que je veux dire. » Autrefois j’aurais écourté ce moment, par gêne, par peur de l’impuissance, mais là, j’ai simplement pensé à toi et j’étais sûr que je pourrais aller jusqu’au bout. Deux minutes après nous nous caressions avec délice… Je te laisse deviner la fin… Alors au revoir, et épanouis-toi autant que je l’ai fait… » Cet adieu était inévitable étant donné le silence de Françoise. Elle comprit qu’il lui faudrait donner un signe immédiatement sinon tout ceci serait terminé. Elle répondit donc : « Cher Val. Loin de moi la volonté de vous mépriser. Vos messages m’ont intéressé et je les ai trouvés très touchants mais je n’ai pas l’habitude de ce genre d’échanges épistolaires. Et j’avoue qu’à un moment je n’étais pas très sûre que vous vous en tiendriez à nos accords de principe : tout par mail, pas de rencontre. Aujourd’hui, j’hésite encore. Je ressens une envie folle de vous faire confiance et de laisser libre cours à notre relation mais j’ai encore besoin d’un signe de votre part. Vous vous confiez sans réserve mais vous vous cachez derrière votre anonymat. Vous me connaissez, vous me côtoyez sans doute mais moi, je ne vous connais pas. Si vous me trahissiez, volontairement ou involontairement, je serais seule et désemparée, je ne pourrais pas me défendre contre un adversaire inconnu. Je sais, au fond de moi, que vous ne voulez pas de cela, mais comprenez-moi : nous ne sommes pas sur un pied d’égalité. Dites-moi qui vous êtes et nous ...