Mailez-vous de vos affaires...
Datte: 24/07/2020,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
telnet,
vengeance,
chantage,
revede,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... pourrons poursuivre, en sachant l’un et l’autre à quoi nous en tenir. Nous ferons semblant de ne pas nous connaître, nous éviterons les rencontres et les contacts, mais nous jouerons plus à cache-cache et je me sentirai rassurée. Très tendrement, Françoise. » Après cela, c’était quitte ou double. Françoise s’attendait au silence. L’histoire avait commencé sous le sceau du mystère, elle était appelée à s’arrêter au premier éclaircissement. Tout cela était trop ambigu pour supporter qu’on mette les choses au clair. Pourtant, elle n’attendit pas longtemps, puisque dans la soirée même elle reçut la réponse : « Très chère Françoise, Comment n’ai-je pas pensé plutôt à tout cela ? Évidemment, la situation n’était pas équilibrée jusqu’à maintenant et tu avais toutes les raisons d’être réticente. Je ne te cacherai pas plus longtemps mon identité, du moment où tu m’autorises à garder mon pseudonyme pour m’adresser à toi : il m’aide à te parler plus franchement, plus directement, je m’y suis attaché. Je m’appelle C***** R**** et je travaille aux ressources humaines. Je te promets de maintenir ma discrétion car je tiens trop à notre secret si précieux. Et puis, j’aurai peur de mettre mon couple en péril, lui qui est si vivant depuis notre rencontre. Je te l’ai déjà dit maintes fois, j’adore ma femme et elle me le rend bien. Ah, comme je désire te garder, comme je pense à toi ! Je sais que je ne devrais pas espérer, mais le bonheur me rend encore plus exigeant. Ce matin, avant de ...
... partir travailler, ma femme m’a embrassé comme d’habitude mais en même temps elle m’a ouvert la braguette et a commencé à me masser et à me caresser. Elle me disait : « Ah je l’aime quand elle est dure, elle m’excite! » Et je n’ai eu qu’à penser à toi Françoise pour que son désir se réalise. J’ai bandé bien dur et je l’ai bien branlée, elle aussi. J’ai failli rester chez moi au lieu d’aller travailler. Tout cela devrait me suffire, je le sais. Je ne mérite rien de plus. Certainement. Et je suis bien impudique de vous dire tout cela. Mais j’espère que tout cela vous fait plaisir. Sachez que je pense à vous dans le plaisir… » Françoise était rassurée par la révélation de Val. Elle le connaissait de vue, mais il travaillait loin d’elle, ils ne risquaient pas de se croiser au quotidien. Et puis, si cela arrivait, elle ferait semblant de rien. Tout était rentré dans l’ordre. Françoise eut une bouffée de désir soudaine. Elle s’imagina dans la situation qu’elle venait de lire et se branla immédiatement. Quand Pascal revint du travail, elle fit la pauvre esseulée et l’attira à lui. Ils firent l’amour avant le repas. En apéritif. Le lendemain, Françoise alla travailler avec une curiosité mêlée d’angoisse. Elle fut sur le qui-vive toute la journée, attendant de croiser son correspondant électronique en chair et en os. Elle avait peur d’avoir peur, elle avait peur de rougir, et en même temps elle avait envie de le voir pour de bon, de voir s’il la regarderait, s’il l’accosterait, s’il lui ...