1. Bal masqué (11)


    Datte: 24/07/2020, Catégories: Transexuels

    ... embrasser la mariée. Patrick se pencha vers moi et me roula un patin, avec la langue et tout. Baiser que je lui rendis avec la même passion. Le café arriva. Je ne cessai d’observer l’anneau nuptial serti de petits diamants. Je le trouvai élégamment assorti à mon vernis rouge vifs posé sur mes ongles longs. Cette fois, je fis le retour au bras de Patrick, quand il ne me tenait pas par la taille. Joëlle nous suivait, à quelques mètres. Il me susurrait des petits mots d’amour, des mots doux qu’un homme ne dit qu’à son épouse. Même Driss ne les avaient pas prononcés. Cela me rendait toute chose, tout comme cette alliance qui m’obnubilait. Cela avait beau n’être qu’une mise en scène, cela n’en restait pas moins réel. J’étais Madame Sarah Duris. Il me tardait de consommer ma nuit de noce. Joëlle ferma la porte alla s’installer dans le coin le plus éloigné du salon — Tu as passé une bonne soirée mon amour, demanda Patrick en m’enlaçant par la taille. — Excellente soirée mon chéri. Je passai mes bras autour de son cou et l’embrassai tendrement. — Je t’aime tant, dis-je — Je t’aime aussi. — J’ai envie de toi. — Gourmande ! On s’installa dans le canapé. Je me lovai contre mon mari. On parla, comme le ferait n’importe quel couple, ponctuant nos phrases de « mon amour », de « mon chéri », de « mon cœur ». Je lui caressais le visage du bout de mon ongle rouge. Ce n’était qu’un jeu, mais en vertu de ma nouvelle philosophie, je faisais comme si ça n’en était pas un. Qui pouvait dire de quoi ...
    ... demain serait fait. Je me relevai, remontai ma jupe crayon sur mes hanches, mettant à jour mes jarretelles et enfourchai mon mari. Mes lèvres cherchèrent les siennes pour un baiser interminable. Patrick ne resta pas inactif et ses mains pelotèrent sans vergogne mes fesses symboliquement protégées par un string minimaliste. Un doigt trouva l’entrée de mon intimité. Je quittai enfin ses lèvres, presque à regret. Je me glissai entre ses genoux, défit son pantalon et avalai son sexe déjà bien dur. Je savourai ce membre délicieux. Parfois, je remontai pour l’embrasser et, accessoirement, faire retomber la pression, avant de recommencer. Patrick m’encourageait avec des « ma chérie, continue » ou des « mon amour, tu suces comme une déesse ». Mon petit trou frémissait. Je n’en pouvais plus. Je le voulais en moi. — Fais-moi l’amour, implorai-je — Tes désirs sont des ordres ma chérie. Je quittai le salon pour me préparer dans la salle de bain. Je retrouvai mon mari dans la chambre conjugale. A sa demande, je n’avais gardé que mes dessous et mes escarpins. Patrick était allongé sur le lit, nu comme un ver, son sexe flasque posé sur sa cuisse. — Tu es belle mon cœur, me dit-il. Un léger bruit me fit me retourner. Joëlle, que j’avais totalement oubliée, s’était assise sur une chaise, dans un coin sombre de la chambre. Je remarquai aussi sa nudité. Je repris son sexe en bouche où il reprit rapidement de la vigueur. Puis Patrick me retourna pour venir me lécher mon petit trou. Je fondis de ...
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