1. Le fantôme du château de Mortequeue


    Datte: 07/10/2017, Catégories: fh, couple, grossexe, bizarre, inconnu, amour, cérébral, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral fist, fsodo, jeu, fdanus,

    ... différents propriétaires ne fut jamais démentie. Charles-Édouard bomba le torse. Bien que sa réputation n’ait jamais eu à souffrir de quelque calomnie, il se sentit d’emblée comme le digne héritier des précédents propriétaires. L’affaire fut vite réglée. L’appartement haussmannien de la rue de la Paix fut tout aussi rapidement vendu, et la transaction concrétisée. Trois mois plus tard, le déménageur livrait leurs meubles et effets personnels, et la famille s’installait au château de Mortequeue. Le premier soir, on coucha les enfants tôt et Bérénice enfila son ensemble le plus affriolant. Être entre ces murs chargés d’Histoire l’excitait davantage, et Charles-Édouard avait à cœur de confirmer qu’il était le digne héritier des châtelains de Mortequeue. Peut-être même avait-il quelque lien de parenté avec le comte ? Il faudrait qu’il vérifie dans son arbre généalogique. Mais pour l’heure, le chibre fièrement dressé, il s’apprêtait à contenter sa douce amie. Une minute plus tard, elle était dans son bain et il reprenait la lecture de son journal. Vers vingt-deux heures, ils décidèrent de se mettre au lit et, se souhaitant une agréable nuit sur le palier du deuxième étage, regagnèrent leurs chambres respectives, voisines et communicantes. Elle espéra longtemps voir la porte s’ouvrir et Charles-Édouard entrer en lui soufflant des mots doux. Qu’aurait-elle donné pour l’entendre crier « Je vais te fracasser, ma salope ! » et que cette promesse soit suivie d’effet… Mais un ronflement ...
    ... émanant de la chambre voisine la convainquit que – au moins pour cette nuit – il ne fallait rien attendre de lui, et elle s’endormit en pensant à son petit canard. Pourtant, au plus noir de la nuit, elle sentit le drap se soulever et une main tendre et douce lui caresser les fesses. — Charles-Édouard… quelle magnifique surprise ! Elle n’eut aucune réponse mais une deuxième main s’aventura sur son ventre et bientôt sur son sein déjà gorgé de désir. Elle sentait son mamelon durcir sous les caresses de Charles-Édouard. — Branle-moi, mon salaud ! lâcha-t-elle, mi-consciente. Il ne dit rien, comme souvent. Il n’était pas très loquace, et encore moins durant les rapports intimes. Il s’exécuta néanmoins, avec une douceur et une tendresse qu’elle ne lui connaissait pas. Elle imagina qu’il avait souhaité jouer à quelque jeu de rôle que l’atmosphère du château lui avait suggéré. Elle adorait ce Charles-Édouard nouveau qu’elle découvrait. Elle sut dès lors qu’elle se plairait dans cette nouvelle demeure. — Vas-y ! Nique-moi maintenant… haleta-t-elle. Quand le membre s’immisça en elle, elle eut un mouvement de recul. Charles-Édouard devait avoir pris une drogue : il était plus gros que jamais ! Et quand elle crut qu’il avait enfoncé en elle son membre entier, elle eut envie de lui malaxer les bourses, comme il aimait. Passant la main entre ses cuisses, elle pensa les attraper mais ne put contenir un petit cri de terreur en découvrant que sa main venait d’agripper le reste d’un sexe qui ...
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