Le fantôme du château de Mortequeue
Datte: 07/10/2017,
Catégories:
fh,
couple,
grossexe,
bizarre,
inconnu,
amour,
cérébral,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
fist,
fsodo,
jeu,
fdanus,
... ne pouvait assurément être celui de son mari, dans la mesure où il restait dix bons centimètres à faire pénétrer. Elle tenta d’allumer la lumière pour voir qui était cet homme qui osait ainsi pénétrer son lit et son vagin, mais l’inconnu lui enfourna quelques centimètres supplémentaires et, d’après ses calculs, il en avait encore en réserve. Il allait et venait en elle à présent, et jamais elle n’avait été aussi comblée, dans tous les sens du terme. Quand enfin elle sentit contre ses fesses les hanches de son « agresseur » elle eut un râle de plaisir bientôt suivi d’une irradiation de tout son bas-ventre, et enfin une déferlante de plaisir qui la fit mordre son oreiller pour éviter de hurler. Elle passa une nouvelle fois la main entre les cuisses mais n’attrapa rien cette fois. Elle se précipita vers la lumière et balaya la chambre du regard. Personne. Elle se leva promptement, vérifia la serrure de la porte : fermée. La fenêtre… tout était fermé. Elle imagina alors qu’une porte dérobée, dissimulée dans les murs, pouvait permettre à un habitué de la maison d’entrer et sortir sans être vu. Elle passa le reste de la nuit à fouiller chaque recoin de la chambre. En vain. Charles-Édouard dut s’absenter pour affaires toute la journée suivante. Bérénice en profita pour se rendre au village. C’était l’occasion de se présenter et, peut-être, en apprendre un peu plus sur l’histoire de ce mystérieux château. Elle avait retourné le problème dans tous les sens sans pouvoir trouver ...
... d’explication plausible. Il était évident que l’homme qui l’avait prise cette nuit ne pouvait être son mari ; et pourtant, personne n’avait pu accéder à sa chambre… Elle n’osait penser qu’il puisse s’agir d’un spectre, d’un fantôme. C’eût été ridicule de sa part. Et quand bien même ce château pouvait être hanté, elle n’avait jamais entendu parler d’un fantôme muni d’un tel gourdin et aussi avide de s’en servir. Par chance, c’était jour de marché et Bérénice attirait toutes les attentions. Sur son passage, elle entendait dire « C’est la nouvelle comtesse… » ou « C’est elle qui a racheté Mortequeue. » Perchée sur ses Louboutin et engoncée dans son tailleur Chanel, elle se demandait comment sa popularité pouvait déjà être aussi grande. On la saluait parfois. À d’autres moments, elle pouvait entendre ricaner dans son dos. Elle avisa la pharmacie et y pénétra afin d’investir dans quelque plante susceptible de lui permettre de trouver le sommeil. La pharmacienne, une charmante jeune femme au sourire avenant, lui tendit une préparation. — J’imagine que ce bougre de Mortequeue ne vous laisse pas dormir, pas vrai ? Bérénice faillit s’effondrer. — Pardon ?— Vous ne connaissez pas l’histoire du château que vous avez acheté ?— Euh… si. Le duc de Guise, etc.— Oui, mais tout ceci, ce n’est que le début de l’histoire. Elle se pencha au-dessus du comptoir et invita sa cliente à en faire de même pour lui glisser à l’oreille : — La légende dit que depuis sa mort, le comte de Mortequeue, soucieux que ...