1. Lettres d'une femme mariée - 6


    Datte: 25/07/2020, Catégories: fh, ffh, jeunes, extracon, Collègues / Travail jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral init, confession, lettres, extraconj,

    ... l’écrin possible de notre volupté, mais en toute innocence déjà devant tant de luxe et de « chasteté visuelle » je pensais combien il serait difficile de rendre ce lieu aussi propre qu’il nous était livré. Bien sûr, c’était un peu ridicule, mais toute cette blancheur, cette lumière, cette transparence même des parois qui laissaient à loisir « à découvert » ce que je percevais comme le lieu de nos liaisons secrètes, tout cela m’intimidait. C’était un peu comme si l’endroit même ne nous laissait aucune échappatoire. Je me sentais observée, et j’avais peur en même temps que chacun de mes pas, de mes gestes, de mes actes laisse ici son empreinte dans un espace que j’aurais aimé feutré, confiné, protégé des regards extérieurs. Ce qui était troublant c’est que tout en me retrouvant seule avec Michel, j’étais dans une configuration qui était à l’opposé de celle que je connaissais le plus souvent auprès de lui, dans la quasi-obscurité et le silence familier de son bureau qui s’apparentait plutôt à un boudoir. J’étais nostalgique de ces instants volés mais exclusifs que nous partagions, sur notre lieu de travail. Ici, je me sentis immédiatement étrangère, et pour ainsi dire mise à nu par cet univers pourtant peu hostile mais qui me mettait mal à l’aise. Pour mon amant généreux qui était visiblement ému de me retrouver dans cet endroit, il en allait visiblement différemment. Il semblait heureux comme un enfant sur le point de réaliser enfin un des plus beaux de ses rêves. Il ...
    ... m’accueillit avec une liberté et une chaleur que le cadre de l’agence lui interdisait d’ordinaire. Il était en premier lieu enchanté de me découvrir habillée d’une façon bien différente de celle qu’il me connaissait au travail. Il faut dire que je m’étais organisée pour ne pas avoir de regret sur mon apparence, en un soir qui me semblait si important. J’avais emporté des vêtements soigneusement rangés dans une sacoche, qui était censée à tes yeux transporter des dossiers… Et c’est dans l’espace exigu, inconfortable et si peu « privé » des toilettes du café que je me suis entièrement dévêtue. J’ai d’abord enfilé une fine culotte blanche, tellement transparente que l’on aurait pu douter de sa présence sans un délicat motif de dentelle perlé sur ses contours qui offrait une parure tout à fait accueillante pour celui ou celle qui viendrait à la découvrir… Son apparence pouvait faire penser, avant qu’une introspection plus assidue ait fait joindre le geste au seul regard, que mon sexe et mes fesses n’étaient parés que par un fin collier scintillant sur ma chair. J’avais bien entendu prévu de porter un soutien-gorge assorti qui pour moi était, parmi ceux que je possédais, celui qui mettait le plus en valeur les formes « épanouies » de ma poitrine dont je tire une certaine fierté. Une fois débarrassés de ma robe, ils offriraient à la vue le spectacle de mes aréoles épaisses et sombres que tu compares parfois à celles d’une voluptueuse Africaine qui, contrairement à moi, les livre avec naturel ...
«12...789...15»