L'étalon aiguille (7)
Datte: 25/07/2020,
Catégories:
Transexuels
... experte. Le but n’est pas de t’épiler les sourcils comme à une nana, en l’occurrence, ce qu’il faut, c’est les affiner juste un peu sur les extrémités. — Fais-moi confiance, Sam. "Comme je te l’ai fait hier !" ajouta t’elle en me faisant un clin d’œil. Après que je me sois rasé de près, elle n’eut besoin que de dix minutes pour m’épiler "juste un peu" les sourcils, me maquiller et me vernir les ongles. Beau joueur, Philippe la félicita pour le résultat obtenu. Nous passâmes tous les trois dans la chambre pour nous changer. Là, ils me demandèrent de me déchausser et de me déshabiller puis de fermer les yeux. — Est-ce que tu as un souhait particulier? — Cuir et bottes ! — Oui, bien sûr, mais à part ça? — Euh… rien… Ah si : pas ta combine, car je l’adore, mais je ne peux pas sortir avec, elle me moule beaucoup trop et j’ai comme l’impression que Popaul va se retrouver au garde à vous pour un bout de temps ! Et puis, ah oui, tiens, j’aimerais bien, si c’est possible, un porte-jarretelles. — Bien. Non, non, ne rouvre pas les yeux avant qu’on te l’ait dit. Je sentis deux mains faire glisser sur mes cuisses la petite culotte que Tiffanny m’avait offert de porter le matin. Je crus reconnaître ses mains à elle au frôlement d’un ongle, mais honnêtement, je n’en ai jamais eu la certitude absolue… Je me sentais totalement à leur merci, et bien qu’ayant complètement confiance en eux, mon corps tout entier était parcouru de légers tremblements nerveux. Ma cécité forcée décuplait toutes mes ...
... sensations. J’entendais parfois un rire étouffé, le crissement caractéristique d’un vêtement en cuir, un "Non, ça n’irait pas" ou au contraire un "Oh, on va essayer ça"… Je sentais différents vêtements frôler ma peau ou se coller contre elle, provoquant à chaque fois un nouveau frisson de plaisir. Je reconnus le corps de Tiffanny se coller dans mon dos pour plaquer sur mon pubis ce que je devinais être une jupe de cuir. J’en déduisis que c’était Philippe qui posa contre ma jambe une cuissarde pour en tester, du moins c’est ce que je supposai, la longueur par rapport à la jupe. J’entendis alors sa voix grave. — OK, ça l’ fera, là. De toute façon, on n’a pas le temps de continuer ce petit jeu maintenant, car il faut qu’on se grouille si on ne veut pas être en trop en retard. C’est bon, tu peux rouvrir les yeux, Sam, ça sera moins casse-gueule pour t’habiller ! Tiffanny me tendait en souriant une jupe asymétrique et le blouson sans col que j’avais porté la veille au soir. Lui tenait dans ses mains deux faux seins en silicone et un body/porte-jarretelles gris foncé ainsi qu’une paire de bas noirs brillants -et opaques, heureusement pour moi ! Tout en se changeant à leur tour, ils ne me quittèrent des yeux ni l’un ni l’autre pendant la phase finale de mon travestissement. — Philippe voulait te faire mettre ces cuissardes, mais personnellement, je trouve que ce qui ferait le mieux, ce sont les bottes que tu avais tout à l’heure. — Celles à talons métalliques? Ah ben d’accord, vous ...