1. Les routiers sont sympas (3)


    Datte: 27/07/2020, Catégories: Hétéro

    ... besoin. C’est cette femme qui m’a réellement éduqué, sexuellement, autant sur le plan anatomique que pour le plaisir. - Pour moi, c’est ma marraine qui m’a le plus « instruite » sur le risque d’avoir des bébés en « couchant » avec un garçon. Ma véritable éducation sexuelle, je l’ai apprise toute seule au cours de mes études d’infirmière. Étudiante, j’aimais prendre du bon temps. Je me dévergondais un peu. — Si tu veux, pense à ce que nous pourrions faire ce soir... Fantasme,,, ça va t’exciter,,, se sera meilleur... Regarde, rien que d’y penser, j’ai « la trique »... — Figure-toi qu’il y a un moment que j’ai envie,,, j’ai la culotte toute mouillée,,, heureusement que le short est imperméable,,, » Ainsi le temps passe... les kilomètres défilent... Notre conversation a repris sur un ton plus général : Nous parlons de nos familles, des changements du temps et du paysage au fur et à mesure que nous avançons. Nous avons contourné Paris et roulons sur l’autoroute du Nord. La nuit commence à tomber. Nous nous arrêtons sur une aire de service. Nous nous douchons, chacun dans sa cabine. Nous mangeons. Pour dormir, il y a trop de trafic, trop de bruit... Nous roulons jusqu’à une aire de repos plus tranquille. Le parking réservé aux poids lourds est un peu « isolé », loin des voies de circulation. Il y a quelques camions garés. Je choisis un emplacement un peu à l’écart. Le véhicule immobilisé, moteur arrêté, rideaux tirés, à la lueur du plafonnier, je regarde ma passagère et je lui dit ...
    ... : - « Maintenant, que faisons-nous ? — On se met en pyjama et on dort... — Je n’ai pas de pyjama, j’ai l’habitude de dormir en slip... — Ce n’est pas grave, des fois, je dors à poil... et ce soir, j’en ai envie... » Nous avons échangées ces banalités en riant franchement. Je m’avance vers elle, la prends dans mes bras, l’embrasse sur la bouche. Elle répond, nos langues se trouvent, s’emmêlent. Je sens ses seins, aux pointes dures, contre ma poitrine. D’une mains sur ses fesses, je la plaque contre moi pour lui faire sentir la raideur de mon sexe. De l’autre main, je cherche et trouve le bouton qui tient sa jupe en place. Je le défait, la jupe tombe sur ses pieds. Elle passe ses bras sous mon T-shirt, me caresse la poitrine en remontant. Mon vêtement me passe par dessus la tête, quitte mes bras et va atterrir sur le volant. Je fais suivre le même sort à son T-shirt et à son soutien gorge. N’ayant pas remis son collant et son short après s’être douchée, elle est en petite culotte,. Elle défait la boucle de ma ceinture, baisse la fermeture éclair et laisse choir mon pantalon. Nous sommes torses nus, seulement vêtus de nos slips. Nous nous regardons et éclatons de rire... Je la prends dans les bras pour la faire assoir sur le bord de la couchette. Je lui enlève ses « tennis », ramasse sa jupe et mon pantalon et les range sur le siège du conducteur. Je l’embrasse sur la bouche, le nez, les yeux les joues. Je lui « mordille » les lobes des oreilles, puis je descends le long de son ...
«1...3456»