1. Les routiers sont sympas (3)


    Datte: 27/07/2020, Catégories: Hétéro

    ... cou toujours en la « baisouillant ». Je passe sur ses épaules et arrive à sa poitrine. Je m’atarde sur chacun de ses seins, suce et « mordille » chaque pointe. Mes mains, qui lui caressaient le dos, font descendre et quitter sa culotte. Je lui embrasse, lui léche le ventre, les cuisses que j’écarte. J’y vais doucement pour ne pas l’apeurer. Je lui embrasse le sexe comme je lui embrasse la bouche : doucement, globalement, en le prenant bien entre mes lèvres. Elle a un goût acidulé et un peu amer mais très agréable. j’appuie de plus en plus fort. Je lèche, j’embrasse, je mordille chaque lèvre. J’embrasse au dessus de son clitoris que je sens gonfler et durcir. Il sort de sa « cachette », ma langue y tourne autour, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Pendant que je la lèche, je sens son sexe qui coule en continu. Pour me désalérer, de temps en temps, j’aspire une gorgée de cette « mouille », directement à la source. Sous cet « assaut buccal » Christine se fige, se raidie, se cambre. Ses soupirs deviennent des râle qui roulent au fond de sa gorge. Soudain elle pousse un long cri. Son corps est secoué par les soubressauts de la jouissance. Elle jouit, elle coule plus abondament. Je me fais une joie de boire cette liqueur en la savourant. Cela dure quelques secondes. Puis elle « retombe » sans mouvement, inanimée... Je continue à lécher, à boire, jusqu’à ce quelle ...
    ... revienne. Sa respiration devient plus régulière. Elle ouvre les yeux, me regarde comme si j’étais un « fantôme ». Je m’approche pour l’embrasser. Elle me serre dans ses bras. Avant de m’offrir sa bouche, elle me murmure à l’oreille « Merci ». Nous terminons cette « première approche » par un langoureux et voluptueux baiser . — « Encore Merci, me dit-elle, je n’ai jamais eu autant de bonheur de toute ma vie... — J’ai toujours aimé donner du plaisir aux femmes. Les faire jouir de cette façon est le préliminaire que je préfère. — En parlant de préliminaire et de jouissance, toi, tu n’as rien eu... -Ce n’est pas grave... Ton bonheur est mon plaisir... Je me réserve pour la prochaine fois... Si tu y tiens, nous pouvons nous « accoupler »... Mais n’oublie pas que demain je dois conduire toute la journée. Je dois me reposer et récupérer... — Tu as raison... Je suis épuisée... On va dormir bien sagement... Avant, je voudrai faire un brin de toilette, j’en ai plein les fesses et les cuisses... — Pas de problème : sous la couchette j’ai du papier essuie-tout, une petite réserve d’eau, un gant et une serviette. » Après une toilette sommaire, elle remet sa culotte, moi, toujours en slip, nous nous allongeons sous le duvet de la couchette et, dans les bras de l’un et l’autre, nous endormons pour une nuit « réparatrice.» Demain sera un autre jour... et une autre histoire... Petikokin 
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