Les archers (5) - Histoires de Sexe

Les archers (5)

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination FANTASMATIQUE. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence. Comme nous avons tout en discutant fini de manger, on ramasse nos ustensiles de cuisine qu’on nettoie dans la rivière, et quand c’est fait Mélanie éprouve le besoin de se soulager. Bien que nous ne soyons pas pudiques, avant quand l’un d’entre nous devait faire ses besoins il s’éloignait toujours pour ne pas déranger les autres ne serait-ce qu’à cause des odeurs. Mais nous sommes passés d’un monde soi-disant civilisé à un autre dont pour l’instant nous ne savons pas grand-chose, et visiblement ma femme n’a pas envie de s’éloigner du feu. Bien qu’à aucun moment on n’ait parlé d’éventuels prédateurs, le souvenir de l’ours gigantesque est toujours présent dans nos esprits. Elle se déshabille sans se presser, et sans aucune pudeur elle se met accroupie face à nous à cinq mètres de distance pour lâcher un flot d’urine sur le sol, en disant : — Ah… Ça fait du bien. Je souris en la voyant faire mais Amandine devient écarlate, et je comprends que ce n’est pas parce que le comportement de sa maman la choque mais parce qu’elle a elle aussi envie de se soulager et qu’elle n’ose pas se comporter comme elle. Mélanie va ensuite se rincer la vulve dans le cours d’eau, et pour essayer d’aider notre fille je me mets nu moi aussi et je pisse devant elle sans me gêner. Elle rougit à nouveau mais elle finit ...

... par se décider, et quand elle est dans la même tenue que nous elle prend la position qu’avait ma femme un peu plus tôt, mais en nous tournant le dos, et elle urine à son tour. Tandis qu’elle va nettoyer sa petite figue, sa maman me lance un regard complice que je lui rends, après tout à l’époque des hommes des cavernes il faut faire comme eux, même si nous ne sommes pas certains de nous y trouver puisque nous ne les avons pas encore rencontrés. Ensuite nous nous brossons les dents, et avant de rentrer dans notre sac de couchage alors qu’Amandine s’est déjà glissée dans le sien, je demande à Mélanie : — Ils faisaient l’amour comment les hommes préhistoriques ? Elle fait mine de réfléchir avant de me répondre : — D’après ce que j’en sais, ils se comportaient comme les animaux, la femelle à quatre pattes et le mâle se plaçait derrière elle pour la couvrir. Le ton de sa voix et la vue de son superbe corps suffisent à me provoquer une belle érection. Avec un petit sourire coquin, elle prend la position qu’elle m’a décrite, je me place aussitôt comme elle me l’a décrit en me mettant à genoux pour être à la bonne hauteur, ensuite je la questionne à nouveau : — Tu crois qu’ils étaient capables de faire preuve de tendresse les hommes préhistoriques ? — J’en doute fort. Ils devaient se dépêcher de peur qu’un lion des cavernes affamé ne surgisse sans crier gare, ou qu’un homme plus fort qu’eux ne prenne leur place. Je pose le bout de mon sexe contre sa vulve offerte, je l’attrape par les ...