1. Elle m'a ouvert la voie


    Datte: 28/07/2020, Catégories: fh, couple, amour, BDSM / Fétichisme fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init,

    ... timide qu’il faudrait reprendre plusieurs fois, à l’image des premiers coïts de notre adolescence. J’étais loin d’imaginer ce qu’allait être la réalité. Tout a commencé un jour de juillet : professionnellement peu actifs à cette période, nous menons une existence de jeune couple, puisque les enfants ont rejoint leurs grands-parents sur les plages. Ce jour-là, elle ne fait qu’une courte apparition dans son bureau, en fin de matinée, pour m’informer joyeusement qu’elle va faire les soldes et que le travail attendra. J’allais prétexter deux rendez-vous ennuyeux pour rester à mon poste, mais elle ne m’attend pas pour la suivre dans son marathon, et cela m’arrange bien. Vêtue d’une robe courte de saison, je la vois disparaître au coin de la rue avec une démarche un peu empruntée, que j’attribue à ses nouvelles chaussures. Le soir arrive, et je ne me doute encore de rien. Elle m’a précédé de quelques heures et s’est mise sur son trente et un, avec une ravissante robe d’un bleu tendre qu’on aurait dit inventé pour ses yeux, un maquillage digne des grandes cérémonies, des chaussures à talons vertigineux qui relèvent sa croupe avec arrogance, et je devine à son allure que ses dessous doivent être encore plus affolants. Incapable d’en détacher mon regard, je tente une approche immédiatement repoussée, et je suis dévié en direction de la douche. Si les hommes ont l’habitude de bâcler les ablutions, je ne manque pas ce soir à cette réputation, pressé que je suis d’admirer et surtout de ...
    ... toucher ma moitié dans sa nouvelle apparence. Vêtu d’un peignoir, je sors de la salle de bain avec des intentions malicieuses, mais elle a tout prévu pour me contrecarrer. La table est mise, et je suis son invité : même le vin est débouché à l’avance, et j’ai le privilège de me laisser servir comme un seigneur, par une charmante hôtesse que je rêve de soumettre à mes fantasmes. Elle ne veut pas même s’asseoir, si ce n’est un court instant sur mes genoux : le temps pour moi de remonter une caresse le long de sa jambe, constater qu’elle porte des bas, essayer de remonter encore, et prendre une tape sur la main ; elle est de nouveau debout, à me tourner autour en s’affairant, de cette même démarche légèrement hésitante, que j’attribue encore à ses talons. Le repas est léger, elle se contente de grignoter et moi de la suivre des yeux, il me tarde d’en arriver au dessert et de lui sauter dessus. Elle donne le signal d’une question innocente : — C’était bon mon amour ?— Je n’ai pas fini, réponds-je en me levant d’un coup.— Tu veux encore quelque chose ?— Oui, toi ! Et je me précipite à sa rencontre pour l’embrasser. Mes mains suivent les courbes de son corps depuis ses épaules jusqu’à ses hanches, essayant de deviner ce qu’elle porte à travers le tissu léger. Je ne sais rien de sûr, mais je sens déjà que ses seins pointent en liberté, soutenus par des balconnets audacieux, tandis que son ventre s’efface derrière un serre-taille dont je sens les lacets dans son dos. Glissant la pulpe ...
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