1. Elle m'a ouvert la voie


    Datte: 28/07/2020, Catégories: fh, couple, amour, BDSM / Fétichisme fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init,

    ... de l’index un peu plus bas je peux percevoir la présence d’un porte-jarretelles, mais je n’ai encore rien vu. Elle sent mon excitation à son comble : — Tu voudrais regarder mon chéri ?— Un peu ! Et toucher aussi !— Oh non ! Pas toucher ! J’enlève ma robe si tu t’assois pour finir ton dessert ! Sinon j’allume la télé ! Pas question de télé, j’obéis aussitôt, bien sûr. Elle a remarqué que mon sexe tente de séparer les pans de mon peignoir, et elle s’emploie à aggraver cet état en me forçant à me remettre à table. Je la mange des yeux, et je m’efforce d’avaler un dessert dont je ne sens pas le goût tellement j’ai l’esprit ailleurs. Elle tient sa promesse et fait tomber sa robe d’un coup. Mon cœur s’accélère et je le sens battre jusque dans ma verge tendue à l’extrême, en découvrant les fabuleux appas qu’elle m’exhibe fièrement : assortis à sa robe, dans un ton plus foncé, ses sous-vêtements la transforment en une Messaline affolante, avec des seins lourds soutenus par un soutien-gorge symbolique, à peine un quart de balconnet en soie qui sépare délicatement ses deux globes charnus. Quelques centimètres en dessous le mystère de son ventre disparaît sous un serre-taille qui lui galbe l’abdomen selon une mode un peu surannée, mais tellement érotique. Sa taille est souligné par un superbe porte-jarretelles à six jarretelles et elle ne porte pas de culotte. Elle se tourne alors et me montre le spectacle encore plus éblouissant de ses fesses cambrées vers moi, serrées entre son ...
    ... porte-jarretelles et la lisières de ses bas. Ses jambes semblent interminables dans leurs fourreaux de soie, soulignées par une discrète couture courant du talon jusqu’en haut de la cuisse. Ma queue tendue à son maximum dépasse avec indécence de mon peignoir et je l’empoigne d’une main ferme. Quelques mouvements de masturbation me confirment que mon érection est à son paroxysme et qu’il me faut maintenant approcher ma femme. Oubliant le dessert et ma retenue habituelle, je me lève et me serre vivement contre elle, plaquant mes mains partout à la fois sur son corps. Elle cède cette fois, et me laisse parcourir des doigts tout ce qu’elle m’a montré, pourtant sans répondre à mes caresses. La bouche, la langue, les oreilles, le cou, les aisselles et les mamelons sont à ma disposition, mais il me faudra déballer mon cadeau pour découvrir le nombril, les hanches, les pieds. Elle est si jolie ainsi que j’hésiterai encore un moment. En attendant, tout en l’embrassant profondément j’appuie des doigts inquisiteurs sur le sillon de ses fesses et vers la pointe de son triangle. Ma caresse la fait fondre, et elle sépare ses jambes pour en enrouler une autour de ma taille. Prenant ceci comme une invite, je continue l’exploration entre ses cuisses, d’abord par-devant, où je trouve une humidité propice aux caresses, puis par derrière, où je rencontre… un objet dur. Ma surprise stoppe mon élan : — Qu’est ce que c’est ?— C’est… une sorte… d’écarteur, balbutie-t-elle d’un ton gêné.— C’est à dire ? ...
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