1. Elle m'a ouvert la voie


    Datte: 28/07/2020, Catégories: fh, couple, amour, BDSM / Fétichisme fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init,

    ... m’en saisis et tire lentement vers moi, je vois l’anneau culier de ma femme s’écarter plus encore, laissant passer la large base de cet objet conique dans le coulissement gras d’une abondante lubrification. Elle gémit doucement, comme si cette séparation de son amant de latex lui était douloureuse. Il s’en va enfin, et je constate alors que sa forme ne ressemble en rien à mon sexe, mais que sa largeur s’en approche. L’orifice qu’il vient de quitter reste ouvert, et j’y plonge un doigt, avec bien plus de facilité qu’à l’habitude. C’est chaud, humide et accueillant. Trois va-et-vient lui font sentir que la pénétration est bien proche maintenant, et je retire mon doigt pour approcher ma queue. Mon gland s’appuie contre son anus, et je mesure à cet instant la difficulté qu’il y aura de faire entrer cette forme ronde, tellement différente de son cône en latex. Sûre d’elle, ma femme me dit alors de prendre un peu de gel pour faciliter mon passage. Trop tard, je m’engage déjà dans son petit couloir. Voilà le gland encerclé par son anneau, et bientôt avalé par le sphincter ! Elle crie, mais je comprends vite que c’est de surprise, d’avoir aussi facilement englouti l’extrémité de ma bite. Et je poursuis mon effort, avançant toujours, galvanisé par sa résistance et ses encouragements : — Vas-y, tu me tiens, continue, je la sens, oh, c’est terrible, plus loin ! Soudain elle hurle, et je crois à nouveau à une douleur intolérable, mais c’est la puissance de cette nouvelle sensation qui ...
    ... lui fait tenir un langage inhabituel : — Ah, je suis ta salope, tu m’encules bien, vas-y, fourre-moi, encore ! Aaaaaah ! Cette fois, je n’irai pas plus loin. Abuté dans son orifice largement dilaté je reste sous le choc de l’étonnement : je sodomise ma femme et j’ai collé mes couilles contre ses fesses ! Bien serrée à la base, ma queue est entièrement entrée dans son intestin ! Et cette garce, avec ses habits de pute de luxe, m’envoie des propos orduriers pour la première fois de notre existence ! — Vas-y, défonce-moi le cul ! je suis ta salope et tu m’encules profond ! Je déchargerais presque, rien qu’à l’entendre tenir ce langage. Mais je ne compte pas en rester là et je vais lui en donner pour sa peine. Je commence un va-et-vient timide en la tenant par les hanches, elle cesse de parler et souffle de plus en plus fort. Encouragé dans cette voie je maintiens la fréquence et force l’amplitude de ma pénétration. Elle ahane comme un bûcheron à chaque fois que je lui enfonce mon dard. Je me courbe sur son dos et l’attrape alors par les seins, ayant du même coup la sensation de la pénétrer plus profondément encore, et j’accélère mes coups de reins dans ses entrailles. Je la sens bientôt prête à jouir, aussi je descends ma main gauche sur son sexe béant : il dégouline de bonheur sur mes doigts et je peux à peine attraper son bouton. Cette fois c’est moi qui perds ma retenue, je lui enfonce deux phalanges dans la chatte et j’accompagne avec ce crochet improvisé mes mouvements du ...
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