1. monsieur Priape (2)


    Datte: 28/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... laisser perdre de son sperme. — Ouuufff ça fait du bien de se libérer la mâchoire ! Excuse-moi je n’ai pas pu résister à mon plaisir ! — Ce n’est rien, beaucoup de femmes fuient quand elles voient mon sexe et ne veulent même pas me toucher … Jules. Guy a finit de jouir, Sa queue reprend sa taille normale, mais elle est toujours raide, restant en semi-érection. Il s’est porté à ma hauteur, la bite dressée, avec l’intention visible de prendre ma place. Docilement alors, je me suis retiré, un peu à contrecœur, de l’endroit tout chaud. Il a prit ma femme par les hanches. J’ai eu peur, du coup : ne va t-il pas la déchirer ? Comment un engin pareil va t-il pouvoir entrer dans sa petite chatte juteuse ? Je vois de l’inquiétude dans le regard de ma chérie. On dirait qu’elle se cambre davantage, pour accueillir plus aisément l’énorme biroute ! ekoessyu J’ai alors vu avec trouble l’engin écarter les lèvres gonflées du minou de ma cochonne d’épouse. J’ai failli crier ! — Arrète ! Tu vas la déchirer ! Mais en même temps, je regarde avec fascination la lente mais certaine progression de la grosse queue dans l’étroit fourreau de ma chérie qui se déforme devant le bélier. Sa chatte gourmande s’offre sans remord à la pénétration monstrueuse ! Elle hurle sans retenue maintenant. — Oh oui, c’est bon, trop bon ! Il ne bande pas, pas encore. Mais sa queue constamment raide lui a permit de la pénétrer sans effort. Quand sa chatte est entièrement envahie, Patricia se met à geindre. Il est ...
    ... au-dessus d’elle, il va et vient doucement, continuant de bouger en elle. Patricia se met à beugler, à hurler, à se tortiller, son visage grimaçant sous l’effort. Elle sent que la chose en elle recommence à grandir, à s’élargir. Son utérus presque déchiré, ses muscles du vagin déformés aux limites du supportable. Nous les regardons sans intervenir. -Je te demande pardon Patricia, mais je ne peux plus m’empêcher de bander ! — Pitié, pitié ! Guy se remet à bander. Sa queue se décuple, double de volume. Une fois dedans, il ne peut plus se retirer tellement il a distendu sa chatte. Patricia continue de geindre, respirant comme une femme ayant des contractions. Nous sommes sans voix devant la bête en rut. Guy va et vient en douceur. Parfois, il donne un coup de queue, talant le pauvre utérus de ma femme. L’homme la tient par les fesses, et bien qu’elle se tortille pour essayer d’échapper à cette torture, il reste bien en elle, enfin ce qu’elle peut accepter de son monstre. Elle a mis une main à la base de son sexe pour en limiter la pénétration mais c’est le deux qu’il lui faudrait. Il ne s’arrête pas, gardant le même rythme, sans aller trop lentement, ni trop vite. Patricia me regarde les yeux pleins de larmes. Tout le monde regarde. Guy continue comme ça, pendant une quinzaine de minutes. Quand il finit par jouir, l’inondant à n’en plus finir, l’étalon reste en elle. Le dernier jet est envoyé et le sperme coule le long des cuisses de ma femme, il continu encore ses aller-retour pendant ...