1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (6)


    Datte: 28/07/2020, Catégories: Lesbienne

    ... conductrice m’a fait pivoter sur le lit de telle façon à ce que je me retrouve allongée, elle est venue à mes côtés, nous nous sommes glissées sous la couette. C’est rapidement que Morphée a pris le dessus et c’est ainsi que nous nous sommes endormies enlacées. Le lendemain matin vers sept heures, Geneviève était là pour nous réveiller, nous n’avons pas eu un seul commentaire comme quoi nous nous étions endormies ensemble. Elle nous a juste dit qu’il fallait que l’on se dépêche, car la journée allait être riche en émotions et qu’il fallait que je travaille quand même après. Geneviève était comme une mère pour moi et c’est ainsi que nous avons petit déjeuné rapidement puis nous avons pris la voiture direction le circuit du Mans ou plutôt ses environs. — J’ai une superbe surprise pour vous. — Toutes les deux, je voulais que vous passiez un week-end mémorable. — Vous m’en direz des nouvelles. Geneviève nous mettait la pression, car manifestement Muriel non plus ne savait pas ce qui nous attendait. Comme d’habitude Muriel avait pris le volant et j’étais à l’arrière avec Geneviève, évidemment, elle était très tactile avec moi, et cela me faisait mouiller comme pas ...
    ... deux. Geneviève m’a expliqué qu’elle avait mis le GPS et que Muriel n’avait juste qu’à suivre les indications pour nous mener à destination. Arrivées sur place, à notre grande surprise, il n’y avait personne, il n’y avait rien aux alentours, à peu de chose près nous étions en plein champ. — Ne vous inquiétez pas, peut-être sommes-nous en avance voire peut-être très en avance. Geneviève nous a expliqué qu’il allait falloir attendre et c’est ainsi que nous avons pu admirer un magnifique lever du soleil au chaud dans la voiture avec une douce musique. Muriel nous avait rejointes à l’arrière, nous étions collées les unes aux autres. Il y avait une rosée givrante sur tous les champs alentour, cela vous laisse imaginer la fraîcheur à l’extérieur. Au bout de quinze minutes, nous avons vu un 4x4 arriver avec une grosse remorque. — Ça y est, ils arrivent. — Il va falloir que vous alliez vous habiller, j’ai ce qu’il faut dans le coffre. Mais qu’allions-nous faire ce matin dehors, au point d’avoir besoin de chaudement nous habiller ? En espérant que ce sixième chapitre vous a plu et que votre indice de satisfaction est toujours aussi élevé. Gros bisous à vous et merci encore. 
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