1. Désir d'enfant


    Datte: 29/07/2020, Catégories: fhh, couleurs, extracon, fépilée, jardin, humilié(e), jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour, occasion, lieuxpubl,

    ... m’alerte. — On s’emmerde pas ici, gueule le nouveau venu dont j’ai pressenti la présence. L’Adonis est à nos côtés, il porte une combinaison semblable à celle d’Ameth. Je ne l’ai pas entendu venir, pas plus que son camion dont le nez pointe à l’entrée de l’enclos. — Qu’est-ce tu foutais, ça fait une heure que je t’attends, récrimine Ameth.— J’ai pas l’impression que tu t’ennuyais, rigole l’Apollon en retour. Il ne m’a pas reconnue. Ameth en prend conscience. — Tu l’as pas reconnue ? lui demande-t-il.— Pourquoi ?— La chatte épilée ? Ça te dit rien ? Nous nous désaccouplons. Dès lors l’Apollon peut mieux détailler mon anatomie. — Ah ouais ! La pute au mec qui nous a pas payé.— Elle était déjà à poil, ça n’a pas traîné…— C’est vrai ça ? T’aimes ça alors ? se réjouit l’Apollon en s’adressant à moi.— …— T’en veux, hein ? grasseye-t-il en m’attirant vers lui. Rigolo ! Et toi, que veux-tu ? Je soutiens son regard puis baisse les yeux, rengainant mon arrogance aussi bien que les protestations que je trépignais d’émettre. À quoi bon ? Qu’on baise et puis basta ; juste un plan cul, pas un mari. Du reste, j’en ai déjà un, duquel il y aurait beaucoup à dire mais je l’aime en dépit de tout. Blindage garanti toutes humiliations ! Je me fais fataliste et le laisse me mettre en position, abdomen en appui sur un muret opportun. Il veut me prendre en levrette. J’attends, le temps pour lui de défourailler son attirail. Ma position n’est pas confortable ; des aspérités et les arêtes me blessent ...
    ... mais j’imagine que je n’en ai pas pour longtemps. De fait, je sens bientôt la pression de son gland sur mes grandes lèvres. Il me pénètre d’un seul coup de rein, brutalement, méchamment ; chance que je sois déjà lubrifiée. Surprise, je gueule ; il continue de plus belle, comme un rustre, telle une brute. — Ferme ta gueule, salope !— Arrête, Mamadou… Son prénom m’est soudain revenu en mémoire. Ameth m’apporte un soutien inattendu. — N’en fais pas trop quand même, intervient-il.— Tu sais très bien que son zigue doit de la thune à mon père. Ouais, il y a de la rancune dans l’air. Une pensée tordante : je paye les dettes de Philippe. L’idée m’amuse, m’excite aussi, ça fait un peu pute. Et paradoxalement, ce rapport extrêmement viril et absolument dénué de tendresse m’apporte malgré tout du plaisir. Je sens l’orgasme monter. Mamadou pilonne toujours comme s’il châtiait le dernier des mécréants. J’aborde la phase de décollage, volets braqués au maximum et n’attends plus que la poussée suffisante pour quitter le plancher des vaches. — Plus fort, oui… vas-y… oui, comme ça, vite, vite… encore.— Putain ! Elle prend son pied… Je l’entends brailler mais loin, très loin. Je suis dans ma bulle, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, rien ne peut plus m’atteindre, je poursuis ma course effrénée, un galop d’enfer vers la félicité. Pourquoi avec mon cher et tendre n’ai-je pas plus souvent des intermèdes de ce genre ? Je me sens magnanime, je pardonne tout ce qu’on voudra, la ...
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