Désir d'enfant
Datte: 29/07/2020,
Catégories:
fhh,
couleurs,
extracon,
fépilée,
jardin,
humilié(e),
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
humour,
occasion,
lieuxpubl,
... brutalité aussi bien que les menus blessures qui ensanglantent mes chairs. Mamadou continue à besogner, je sens qu’il va venir. Ameth a contourné le muret, il est face à moi, sollicitant une gâterie. Je voudrais bien lui faire plaisir, c’est un allié et je n’en ai pas tant, mais ce sauvage de Mamadou me malmène trop, je n’arrive pas à coordonner mes mouvements. Puis soudain l’œil du cyclone, je sens les bordées dans mon ventre, une… deux… trois… quatre… cinq… dont la puissance décroît un peu chaque fois. Du feu, des odeurs, j’ai du moins l’impression d’en humer le fumet. Son sexe tressaute, je ressens les à-coups dans mes tripes. Un nouvel orgasme, moins fort que le premier, m’a emportée. Je plane. Ameth revient à la charge, son gland poisseux et parfumé se balade sous mon nez. Je me déplace un peu, autant pour soulager mes chairs meurtries que pour mieux me placer en vue de lui tailler une pipe. — Bouge pas, je vais remettre ça, m’intime Mamadou. Diable ! Il a de la ressource. Effectivement, je sens son membre en train de reprendre de la vigueur parmi mes tripes. Je m’immobilise, attentive à la renaissance, oublieuse d’Ameth. Lui n’a pas renoncé, il se fait même plus impatient et force le passage. Sa pine est grosse et longue, je dois le modérer, sinon il pourrait bien m’étouffer. Le goût est fort et acre en bouche. Le gland est doux, presque fondant, d’un contact fort agréable sous mes lèvres et au palais. Une grosse veine parcourt toute la longueur de la hampe, je la ...
... sens palpiter sous ma langue. Je le branle en même temps que je le suce. C’est un rapide, je le sens prêt à larguer sa semence. J’accélère la branlette, décidée, le moment venu, à braquer le mandrin pour fertiliser la terre. Intentions louables, mais pas suivies d’effet. L’autre sort de sa léthargie, réattaque en trombe, je perds tout contrôle, délaisse la pipe. Ameth reprend sa chose en main. À ce stade, j’ai des trous, je ne sais plus… J’imagine que je gémis et ahane sous les coups de boutoir du furieux tandis que l’autre se masturbe. Je reçois les giclées en pleine face, l’une me poche un œil, la première ou bien la deuxième, une des deux en tous cas. Une autre me remplit les trous de nez. Bref, j’en ai partout dans les cheveux, sur le menton et même dans la bouche. J’essaie d’essuyer, même sommairement, mais j’aggrave mon cas, c’est tâche impossible avec l’enragé, le secoué du bocal qui me brusque, me brimbale et me secoue pire qu’un sac de patates. Mon désir s’est évanoui, il me tarde que l’énergumène en finisse, j’ai envie de gerber. ooo000ooo Mon vagin s’est transformé en spermathèque, le trop plein dégouline et poisse mes cuisses. Rien pour m’essuyer, rien pour m’habiller. Les salauds m’ont confisqué mes frusques. — D’abord le fric, exige-t-il. Tu parles d’un deal ! N’ai-je pas déjà payé ? Je renvoie par la bande. — Faut voir avec Philippe. Les deux gugusses tournent les talons, apparemment résolus à me laisser en plan. Je les poursuis. — T’es décidée ?— J’ai pas ...