Ophélie, de femme à femelle (9)
Datte: 07/10/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... main. Il est devant moi, je n’ose le regarder, je ne vois que ces deux pieds de chaque côté de mes genoux. - Lève la tête sale chienne ! Le ton est donné, j’obéis, levant la tête, regardant son gros ventre, ses grosses mains venir mettre ce collier de chien autour de mon cou. Me voici relier à lui par cette laisse en cuir, sur laquelle il tire pour me faire mettre debout, et que je suive vers son véhicule, un gros 4x4 tout boueux. Il ouvre son coffre ou se trouve des couvertures. - Monte ! m’ordonne Pierre en tirant sur la laisse. Je m’exécute, sans réfléchir, sans même regarder autour de moi pour voir s’il y avait du monde, je monte et m’allonge sur les couvertures comme une bonne chienne. Pierre monte derrière le volant, démarre et je pars vers de nouvelles aventures, me demandant ce qui m’attends. Le voyage dure longtemps et, j’arrive à me calmer et même m’assoupir, rêvant de mon maître et de ses mains claquant mes fesses. Je me fais réveiller par l’ouverture du coffre, découvrant une immense demeure, sans aucun voisin aux alentours, totalement perdue dans la forêt. Je le suis docilement, toujours tenue en laisse, on passe devant un chenil ou je vois des dizaines de chiens. Arriver devant la porte d’entrée, il s’arrête, se tourne vers moi et me dit que passer cette porte, je dois être toute nue. J’obéis, en faisant tomber mon corsage et ma jupe, me dévoilant entièrement face à lui. Une fois finie, il me fait entrer dans son immense maison, on traverse le hall, et on entre ...
... dans une grande pièce, avec la lumière tamisée, décorée avec pleins de meubles et d’appareil ressemblant à des objets de torture, des établis et au fond des sortes cages en métal. Pierre me fais mettre à genoux pour traverser la salle, le donjon comme il l’appelle, arrivant près des cages, je remarque qu’elles sont occupées, il y en a 4, trois occupée, une de libre mais on s’arrête devant celle de Christelle, que je vois accourir vers la porte, à quatre pattes. Il me fait entrer en ouvrant la grille, en détachant ma laisse tout en me laissant le collier. - Vas avec Christelle, tu la connais déjà. Christelle, gentille avec la nouvelle, tu ne fais pas la méchante le temps que je prépare tout ! On croirait vraiment qu’il parle à un chien. Je rentre dans la cage, pas assez haute pour se mettre debout, à peine à genoux, donc je décide de faire comme ma congénère, je reste à quatre pattes. A peine la porte refermée, je sens le nez de Christelle se coller entre mes fesses, je pousse un petit cri de surprise. - Christelle ! soit gentille, sinon gare à toi, lui cri Pierre tout en s’éloignant. J’essaie de m’échapper à cette humiliation en réfugiant dans un coin, assise, les cuisses regroupées au niveau des seins pour me protéger. Mais Christelle n’a pas l’intention de me laisser tranquille, elle avance vers moi, avec un regard d’envie, les yeux brillant. Elle m’écarte les genoux pour se placer entre mes cuisses, collant ses gros seins sur le miens, son visage à quelques centimètres du ...