1. Ma colocataire (7)


    Datte: 30/07/2020, Catégories: Lesbienne

    ... déshabiller, j’ai tendu l’oreille : le robinet s’était arrêté de couler, la fille devait avoir fini ses ablutions. J’ai essayé de voir si un rayon de lumière passait par le trou : dans ce cas, elle l’occulterait en mettant son œil. Malheureusement, on ne voyait rien. J’attendis encore quelques secondes, faisant mine de chercher quelque chose dans ma trousse de toilette, puis je me suis tournée vers la porte, j’ai retiré ma chemise de nuit en prenant soin de me mettre bien face au trou. J’ai pivoté pour manœuvrer les robinets, offrant ainsi une vue imprenable sur mes fesses. Le savon m’a glissé des mains, j’ai dû me plier pour le récupérer. Un coup d’œil entre mes jambes me permit de constater que le trou était bien dans l’axe. J’imaginais la nana en train de se délecter de mon anatomie, la main plaquée sur son sexe. Le savon, pour la seconde fois, m’a échappé des mains. J’ai pris le temps de le ramasser, me suis relevée, me suis tournée vers la porte. Le côté insolite, vaguement dangereux, de la situation me donna envie de faire pipi, avant de me laver. Ce n’est pas très bien élevé, mais je suis sûre que beaucoup d’entre nous le font. C’est tellement agréable de se soulager sans aucune contrainte. Je me suis donc mise en position, j’ai pincé mes lèvres entre deux doigts afin de diriger mon jet à droite, puis à gauche. Je m’en suis mis partout. Il fallait que ma voyeuse constate la puissance du jet qui m’éclaboussait les jambes jusqu’aux pieds. J’espérais que ce spectacle ...
    ... lui plairait, parce que je prévoyais que la suite du programme serait beaucoup moins agréable... Je venais juste de terminer quand la voix de ma copine me parvint à travers la porte : — Laisse tomber, elle est partie. Déçue et même frustrée, je me suis dépêchée de me laver, de me sécher, de remettre ma chemise de nuit. Après avoir vérifié que la douche était correctement rincée, je suis sortie. Magalie ne m’avait pas attendue. En retraversant l’interminable couloir, je me demandais ce qui avait bien pu foirer dans notre plan pourtant infaillible. Dès que j’eus refermé la porte de la chambre, Magalie, assise sur son lit dans une posture de juge, me prit à froid. — Dis donc, on ne t’en demandait pas tant ! — Quoi ? Je ne comprends pas ce que tu veux dire. L’explication était simple : Magalie avait longé le couloir dans le noir, et au moment où elle arrivait dans les sanitaires, la lumière s’est rallumée, la fille avait eu le temps de prendre une posture innocente. Elle était partie quelques secondes plus tard. — Alors, poursuivit Magalie, je me suis approchée de ce trou. Il ne m’avait jamais paru aussi grand et aussi attirant ! Et tu sais ce que j’ai vu ? bswbuunp Je suis restée interdite. Ainsi, c’était Magalie la mateuse ! Au bout d’un moment, je lui ai demandé si ça lui avait plu. — La fin surtout... Je suis demandeuse d’un remake dans de meilleures conditions. Dommage que tu te sois lavée, j’aurais voulu te lécher. C’est d’ailleurs à ça que je pensais en t’attendant. J’étais ...