1. Cocufiage "Psychothérapie de choc"


    Datte: 30/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... commentaires de ces poètes.Il fait de plus en plus chaud dans ce salon.Comme ils l’ont prédit, ils envoient la purée, l’un après l’autre, et elle avale.Elle avale ?Merde, elle n’a jamais voulu avec moi. Je dois admettre que le spectacle me met dans tous mes états. J’en ai la taupe qui feuge ! Elle jette un coup d’œil vers la caméra et se torche les lèvres en se passant le dessus de la main sur la bouche comme on se torche la mousse d’une bière. Il lui en reste sur le menton. — Viens, ma belle, on va te rendre la pareille, disent les trois loustics en l’allongeant sur le matelas.Elle gît, le cul au bord de notre lit, les jambes écartées, les bras grands ouverts, offerte et consentante. Le dreadlocké plonge le nez entre les cuisses de ma femme, la bouche sur son huître, le nez dans sa fine toison. Les deux autres lui sucent les tétons, caressent et pressent ses pommes d’amour tandis qu’elle leur agite le gourdin. Elle en profite pour polir le Chinois.Ce qu’ils lui font semble lui plaire. Elle le dit, le crie, le soupire. — Bouffez-moi, bouffez-moi toute crue !Ils redoublent d’activité. De temps en temps ils échangent leurs places, pas de jaloux. — Rahh, râle-t-elle de contentement, un sourire béat sur le visage.Elle pousse des cris, hurle ; je crois qu’elle chante la tyrolienne, elle yodle. La voilà-t’y pas qu’elle se cambre, propulse son ventre sur la bouche de ce sale type qui agite ses doigts je ne sais où, la caméra est trop loin. Puis c’est au tour de Bruce Lee de s’y ...
    ... coller, et rebelote avec le troisième, et à chaque fois elle grimpe aux rideaux, ses jambes tremblent, son ventre est agité de spasmes, elle ouvre la bouche en grand à la recherche d’un second souffle.Moi, ça y est, je viens de sortir le glaive à Jules ; il se sentait trop à l’étroit dans mon calbute.À la téloche, ça se corse : elle s’est positionnée à genoux, la tête sur mon oreiller, les jambes écartées, le dos cambré. (59)Mais que font-ils ? Mon Dieu, arrêtez-les, ils lui bouffent… oui, ils lui bouffent le cul ! De temps en temps elle avale une queue, histoire de la garder en forme, tandis que l’un d’entre eux lui enfonce la langue dans le fondement ou lui fait le coup de la prise de courant en goguette, un doigt dans la chatte, un dans le fion. Quelle ignominie !Je suis outré, mais ça ne m’empêche pas de me tripoter Nestor en avalant une gorgée.Je mets sur pause ; je ne veux plus voir ces horreurs. Je me balade dans la maison la quenouille à l’air qui pointe vers le plafond. Je me passe le visage sous l’eau. Je reviens dans le salon, et là, sur l’écran, je vois ma femme les fesses en l’air et une langue dans le cul. Saint Jean-Marie, Sainte Marine, priez pour moi, venez m’aider !Je me ressers une rasade de ouiski. Bon Dieu, qu’il fait chaud ici ! Le joufflu de ma femme m’attire tel un aimant. C’est le supplice de Tantale, ou tante Ale, je sais plus. Je veux savoir ce qui se passe après. Non je que ne sache pas ce qui va se passer, mais je veux voir ! J’hésite, puis je craque ...
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